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L'acte 2, c'est plié.

Et l'auteur nous a encore gâté. Ceux qui ont apprécié le premier acte s'y retrouveront sans problème, tous les éléments ayant fait son succès étant une nouvelle fois au rendez-vous.

J'ai apprécié certains choix forts du scénario. On ne fait pas d'omelette sans casser des oeufs, hein ? Ben là, y'a eu pas mal d'oeufs cassés, c'est le moins qu'on puisse dire.

Oserais-je émettre une critique, néanmoins ? À la suite de ces 2 premiers actes, j'avoue en attendre un peu plus de la part de notre cher Ramirez. La surprise est passée et j'aimerais que le personnage se révèle désormais à lui même autant qu'à nous.

Mais patience. Je sens comme une odeur de poudre qui flotte dans l'air... L'acte 3 ne fera pas dans la dentelle et nous ne saurons nous contenter d'une simple omelette, cette fois ci.

Ce sera l'heure de rendre des comptes.
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Après une brève discussion avec son père qui lui suggère de se rendre au Twin Field Airport ou un avion l'attendra, Jacques Ramirez remonte dans la voiture des deux fugitives, Taylor et Smith. À leurs poursuites, les deux hommes d'Hector mais aussi la police. Cette dernière vient d'ailleurs d'avoir une info très importante puisqu'une serveuse a vu récemment les deux femmes et les a entendues prononcer le mot de Black Rock. Les deux hommes d'Hector n'hésitent pas à éliminer les deux flics, voulant garder ces infos pour eux et être les premiers à mettre la main sur Ramirez...

Un deuxième tome tout aussi (sinon plus) explosif que le premier ! L'on en apprend un peu plus sur les activités de Ramirez, sur celles de son père, sur le lien qui unit Hector et Jacques. Les personnages plus développés s'en donnent à coeur joie dans ce tome et ce, pour notre plus grand plaisir. Courses-poursuites, explosions, meurtres... l'on ne s'ennuie pas un seul instant. le scénario, captivant, est très rythmé et la galerie de personnages étoffée. Un tome qui ne manque pas d'originalité aussi bien sur le fond que sur la forme. En effet, graphiquement, Nicolas Petrimaux nous bombarde de planches aussi incroyables les unes que les autres : mise en page dynamique et variée, doubles pages magnifiques, décors somptueux, plans originaux, trait ciselé, palette de couleurs riche, intrusion de pubs et moult détails...
Un tome dense et jouissif !
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Ramirez, la couv' parle pour lui.

Où l'on découvre l'ami Rami en roi de l'aspiro (mais pas que).
En compagnie de jolies demoiselles, comment dire, physiquement très intelligentes en plus d'avoir leur petit caractère.
De dos, un vilain tout plein qui flingue d'abord (qui, un indice gracieusement offert dans le titre) avant d'entamer un semblant de discute.
Le tout de se déguster à bécane, en voiture ou en hélico. Autant de moyens de locomotion appelés à tirer très rapidement leur révérence dans une monstrueuse gerbe de feu étincelante.
Non seulement la couv' vend du rêve mais en plus, elle tient ses promesses.
Pas prête de faire de la politique, celle-làte.

Ramirez dans le premier rôle d'"Arrête-moi si tu peux" flanqué de moult seconds rôles tout aussi nécessaires à une intrigue de cette envergure.
Le tout se lit toujours aussi avidement, en kouasi apnée, tant l'énergie qui se dégage de ce récit aurait la fâcheuse tendance à cramer tous les radars du coin.
Et toujours ces fausses pubs, histoire de souffler un brin, tout en se dégourdissant les zygos.
Et toujours ces doubles planches, hallucinantes de réalisme, gavées au Trinitrotoluène .

Bref, on tutoierait la perfection, n'était mon gros coup de gueule pas content.
C'est quoi cette typo de merde qui ferait froncer les sourcils d'un aigle, pour peu qu'il en posséda ?
Non parce que se fader près de deux cents planches, le pif collé à l'ami Rami, pas qu'on soit pas devenu intime depuis mais y a des limites à la bienséance, crois-je.
Donc merci d'avoir une pensée émue à la sortie du troisième opus ou de fournir les jumelles adéquates.

Sinon, très bon moment, encore.
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[Critique sur les deux premiers tomes] ● Ramirez, employé modèle d'un fabricant d'aspirateurs, est repéré par la mafia mexicaine : il serait un tueur à gage qu'il faudrait à tout prix éliminer. Il va alors être entraîné dans une suite d'aventures rocambolesques avec une meute de tueurs à ses trousses. ● C'est peu de dire que Nicolas Petrimaux a de l'imagination : les deux (pour l'instant) albums nous font voyager dans l'Arizona des années 70-80 et surtout nous font vivre une histoire incroyable et hallucinante avec de l'action et des rebondissements à gogo, beaucoup d'humour et des personnages extraordinaires. La reconstitution est superbe (à part les QR codes qui n'existaient pas). ● Les dessins sont tout bonnement somptueux, avec beaucoup d'inventivité dans la composition des doubles pages, des couleurs magnifiques, une grande ingéniosité d'exécution. ● le scénario est très habile, complexe ; il m'a fallu du temps pour entrer dedans, mais je ne l'ai pas regretté ! ● L'humour est parfois un peu potache-cour de récré (notamment dans les fausses pubs ou les journaux), c'est un peu dommage. Mais dans l'ensemble c'est une oeuvre magnifique que je recommande vivement. J'attends avec impatience le troisième tome.
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Ouah ! Quel pied....
Terminer mon année de lecture avec ce "Il faut tuer Ramirez, acte 2", c'est génial.
Il y a tout.
Du polar, de la comédie,  du roman noir.
Ils sont nombreux à vouloir la peau de notre marchand d'aspirateur préféré  et là, on peut dire que les chiens sont lâchés, et c'est pas des roquets qu'on a mis à ses basques, c'est du Doberman, du Staff de la pire espèce, du fauve qui ne lâche pas le morceau.
Dans ce volume, je vous l'dis, ça canarde à tout va. Pas de quartier.
Bon, de temps en temps l'auteur nous glisse une page de pub, mais c'est de bon goût. Je vais vous dire, c'est même des parenthèses jouissives, un peu d'air frais dans la canicule.
En plus, l'auteur nous fait quelques révélations sur son personnage découvert dans le précédent opus.
Si vous voulez vous éclater avec une bonne BD, je vous conseille les albums "Il faut flinguer Ramirez" de Nicolas Petrimaux, promis, vous ne le regretterez pas.
Pour l'action, l'humour et son style qui sort un peu des sentiers battus.
Si la fin du monde est pour demain, mieux vaut ne pas passer à côté.


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L'effet de surprise n'était pas étranger à la réussite du 1er volet de « il faut flinguer Ramirez ». C'est donc avec une petite appréhension que j'ai attaqué ce 2ème tome. Passée la surprise est-ce que j'allais être aussi emballée ? D'abord non et puis finalement oui.

D'abord non parce que je ne suis pas rentrée immédiatement dans ce 2ème tome. J'étais un peu perdue, je ne savais plus trop où on en était resté et puis, en effet, l'effet de surprise était passé. Et au fur et à mesure je me suis laissée prendre pour finalement être vraiment accrochée et avoir du mal à lâcher le bouquin. Il faut dire que notre spécialiste de l'aspirateur est vraiment un super personnage qui s'avère même parfois touchant et que Petrimaux s'y entend pour produire un récit addictif riche en action, en surprises et en situations drôlatiques.
Bref, alors que je craignais d'être déçue, j'ai encore une fois passé un très bon moment en compagnie de Ramirez et de toute la galerie de trognes imaginée par Petrimaux.

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Après la claque du premier tome, je me suis évidemment procuré le deuxième. Alors Toujours aussi enthousiaste ?
Jacques Ramirez, le réparateur vedette des aspirateurs de la Robotop est recherché par toute la police de Falcon city. Alors qu'il est en fuite avec Chelsea Tyler et Dakota Smith, les membres du cartel veulent absolument lui faire payer une trahison passée.
Alors ce nouvel opus est toujours aussi bon au niveau du dessin. Les planches et doubles planches sont magnifiques, des explosions, des décors somptueux, des personnages comme on n'en fait plus. Tout le côté visuel est extraordinaire. Les découpages pleine page, avec une multitude de vignettes est totalement maîtrisée et le cocktail action, humour est savamment dosé.
Au niveau du scénario, on en apprend un peu plus sur les relations entre Jacques Ramirez et le cartel, mais vraiment guère plus. Nicolas Petrimaux développe un peu plus ses personnages, mais la surprise du premier tome est passée et je suis un petit peu (mais seulement un tout petit peu) moins emballé par l'histoire. Oh, pas grand-chose, mais la violence de certaines scènes, tarantinesque dirions-nous, est quand même parfois éprouvante. C'est un léger bémol, car cela reste d'une très grande qualité et si on aime l'action fun, matinée d'humour et de punchlines, c'est un vrai plaisir de lecture tout de même.
Il reste tellement de questions sans réponses que le troisième et normalement, dernier volume de la série est attendu avec une grande impatience par tous les fans.
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Mouhahahaaaaaaa ! ça blaste !

Pour faire bonne mesure, j'ai relu le tome 1 ! Bien m'en a pris, parce que je ne me souvenais plus trop des détails (même si l'idée générale m'avait bien marquée, mdr !).

Du coup, c'est sur les chapeaux de roue (private joke pour ceux qui l'ont lu !) que j'en entamé ce tome 2.

Et je ne suis pas déçue. Enfin si. Mais non. Mais si ! Mais nooooooon...
Et comme je veux rien spoiler ben même pas je vous dis pourquoi je tergiverse comme ça.

Les dessins sont toujours aussi géniaux, les publicités, encarts, extraits de journaux absolument rigolisssimes (la pub pour la Ori gamme i, ptdrrrrr !), ça se moque, ça cynique, ça aigre-doux, ça poète, ça boume, ça n'arrête pas une minute et c'est quasiment en apnée qu'on referme ce tome 2.

Tout en criant un gros "NOOOOOOOOOON" parce qu'il va falloir attendre des plombes encore avant le tome 3.

C'est de la bombe !
Incontournable BD française !
Soyons fiers, mes frères et mes soeurs ! Cocorico Petrimaux ! Bravissimo !
Si tu te mets au cinéma, je donne pas cher de la peau de Tarentino !
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Où l'on retrouve Ramirez, notre réparateur d'aspirateur préféré, dans un road-trip échevelé, accompagné de deux pinups et poursuivi par le cartel mexicain !
Ramirez n'est pas celui qu'on croit, mais ce n'est pas si simple !
Employé modèle, musicien de rock, tueur recherché par toutes les polices du pays, fils à papa.. ?
L'auteur nous entraine dans une course poursuite délirante avec tous les codes du film de gangsters, cadavres, explosions, hémoglobine, coups de théâtre…
Le tout rythmé par des encarts publicitaires rétro savoureux où tout est à lire, même les petites lignes !
Encore une lecture réjouissante et déjantée et l'on attend avec impatience le troisième volume !
Petit bémol : la typo demande de bonnes lunettes et/ou un bon éclairage !
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Humour décalé, second degré, autodérision et surenchère dans une road movie déjanté et ébouriffant, plus fort que Tarantino, Starsky et Hutch, l'Arme fatale, Fast and furious réunis dans cette histoire. le graphisme joue sur les stéréotypes des comics américains, du cinéma d'action, le côté pulp est exploité à fond, ça part dans tous les sens, et plus encore. Mais en plus, tout cela est en même temps pris en dérision, il exploite ses modèles tout en s'en moquant. Même la composition de la bande dessinée avec les publicités intégrées nous retourne… Il faut absolument les lire, c'est encore plus délirant. La bande dessinée se transforme parfois en un magazine people pour revenir aux fusillades, explosions gigantesques et courses poursuites. Les personnages sont tous bien gratinés, quand je dis les personnages, on pourrait aussi rajouter les objets : armes, voitures, et même même l'aspirateur participent à la fête. J'ai ri tout du long et je suis totalement décoiffé par l'aventure qui réserve encore de drôles de surprises. Formidable.
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