Sous le soleil de Soledad

La lecture de ce roman m'a peu déçue.
Est ce que c'est parce que je l' attendais avec impatience ou que je n'étais pas prête à lire une telle histoire pourtant fidèle au quatrième de couverture
Je dois préciser que j'ai été plus attiré par cette autrice que j'apprécie
Je n'ai pas trop aimé l'humour de ce récit .
L'histoire ne m'a pas captivé par contre j'ai beaucoup aimé voyagé dans les marais de Floride ou du Mexique.
Je vais retourné dans les anciens registres de Laurence Peyrin pour mieux la retrouver dans mes autrices à suivre.

Malheureusement, j'ai abandonné ce livre.

Je pense que c'est un très beau livre, plein de valeurs, de choses à apporter et qui entraîne une belle réflexion sur la vie (j'ai quand même lu les 200 premières pages).
Je comprends tout à fait l'engouement et les critiques positives. Pour moi, ce qu'il m'a principalement manqué c'est un peu plus d'action. J'ai déjà lu des romans contemplatifs mais ici je n'arrivais pas à me raccrocher à quelque chose. Ni les personnages, ni l'univers et quel dommage car je pense que c'est un roman qui mérite malgré tout d'être lu.

Je ne remets pas du tout en question l'écriture ni l'histoire. Peut-être que ce n'était juste pas le bon moment pour moi..

Une nouvelle fois Laurence Peyrin m'aura emmené en voyage avec ce livre, en Floride puis au Mexique. J'ai passé un bon moment de lecture à suivre Cassie rendre hommage à Soledad, mais aussi à la voir petit à petit évoluer et prendre conscience de certaines choses grâce aussi à sa rencontre avec Viva. C'est une jolie lecture dans son ensemble et un dépaysement assuré pour quelques heures.

Peut-on encore être heureuse quand on ne s'est jamais aimée ?
Quand les complexes et les avanies de l'enfance vous ont endurcie ?
Quand le monde tel qu'il est devenu vous semble étranger ?
Voici l'histoire de Cassie. La Floride, de nos jours. Depuis qu'elle est toute petite, tout le monde appelle Cassie par son surnom, Mama Cass, comme la chanteuse pop. Elle a cinquante ans, elle est complexée par ses kilos, solitaire, désenchantée.
Sa vie tourne autour du safari-alligators hérité de ses parents, qui embarque les touristes en aéroglisseur pour observer les merveilles de la nature dans les Everglades. Elle n'a qu'un ami, Oleg, qui la fait rire et supporte son caractère. Quand elle retrouve sa grande maison vide, le ménage est fait, par Soledad, une Mexicaine âgée qui travaillait déjà pour ses parents. Un soir, Mama Cass découvre Soledad étendue sur le tapis du salon. Morte. Crise cardiaque. Qui prévenir ? Un peu honteuse, elle se rend compte qu'elle n'en sait rien. En furetant, elle trouve dans un tiroir un mot de Soledad : « Mademoiselle Cassie, quand je serai morte, ramenez-moi chez moi. » Mama Cass n'est jamais sortie de Floride. Mais elle se sent tenue de respecter ces dernières volontés.
Pour la première fois de sa vie, elle va prendre l'avion, et partir pour le Yucatan, à la recherche des origines de Soledad, la Mexicaine aux yeux clairs. Au cours de son voyage, elle découvrira l'amitié, incongrue, et l'humanité des autres...Et le goût de la vie.

J'ai pris ce livre sans trop d'attente en ce qui le concernait. Et puis agréable surprise, cela se lit vite et bien. On suit avec amusement les tribulations de Mama Cass (en découvrant en même temps que l'on a déjà tous entendu les titres des Mamas et papas, dont Mama Cass tient son pseudonyme, mais sans connaitre leurs noms).

Malgré le côté simple du livre, l'auteure met quand même plusieurs pichenettes aux sujets de société comme le féminisme à outrance par exemple.

D'un autre côté, on reste dans le côté feel good où tout est bien qui finit bien et où les personnages n'ont pas de problèmes pour partir du jour au lendemain sur les routes sans trop s'occuper de ce qu'ils laissent derrière eux. Mais si cela permet de passer un bon moment, cela me va!

Un peu déçue par ce feel good.
Bien que l'histoire soit belle et originale, je n'ai pas trop aimé l'ambiance de ce roman, j'ai trouvé des dialogues peu recherchés.
Il m'a en effet fallu du temps pour apprécier ce roman, ce qui m'a presque découragée à un moment.
Ce que j'ai bien aimé en revanche, c'est la relation entre Mama Cass et Viva, même si j'y ai trouvé beaucoup de clichés sur certains points.
Par ailleurs, j'ai trouvé la fin un peu trop prévisible, mais je le conçois c'est souvent le cas pour un feel good.

Mais que se fût long ce voyage! J en ai eu de la peine pour Soledad , même dans son état! C est vous dire!
Tout est prévisible , l histoire peu passionnante , les personnages tellement stéréotypés, je n' ai rien trouvé à quoi me raccrocher.
De temps en temps un roman facile à lire ça fait du bien mais de là à s ennuyer c est une autre histoire

Je l'ai commencé, je l'ai lâché pour un autre bouquin, je l'ai repris, relâché... mais enfin, j'ai réussi à le terminer. J'ai mis du temps à rentrer dans ce roman qui n'est, pour moi, pas le meilleur de Laurence Peyrin. Je ne trouve pas forcément les personnages attachants, si ce n'est Soledad qu'on découvre au fil de la lecture.
C'est à la moitié de l'histoire que j'ai commencé à bien accrocher et je ne regrette pas. Au final c'est un beau roman, l'histoire et belle et émouvante. Il me manque un petit je ne sais quoi, mais j'ai tout de même bien aimé.

Je finis cette lecture sur une note mitigée. Je suis un peu déçue.
J'ai lu tous les livres de cette autrice mais depuis un moment il me laisse perplexe, mitigé.
L'histoire ne m'a pas captivé. Je n'ai pas réussi à m'attacher aux personnages. Surtout le personnage principal qui m'a surtout énervé plus qu'autre chose - à être toujours dans le négatif
La drôle de vie de Zelda Zonk, hannah et l'aile des vierges resterons mes livres préférés de cette autrice

Mama Cass qui s'appelle Cassie retrouve sa femme de ménage étendue au sol. Elle vient de décéder. Mama Cass se rencontre qu'elle ne connaissait pas Soledad, celle qui a fait le ménage pour sa mère et ensuite pour elle. Elle se rend chez elle et découvre une lettre où Soledad lui demande de la ramener chez elle.
Comment va faire Mama Cass pour respecter la demande de Soledad ?
A bord de l'avion elle va rencontrer Viva extravertie donc son opposé. Un nouveau monde s'ouvre à Mama Cass, va-t'elle accepter de le découvrir ?
L'auteur nous parle de notre société de perfection, de recherche de toujours plus.
Pour moi ce n'est pas le meilleur livre de cette autrice.