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Citations sur Fil de fer (15)

Je me suis habituée au hurlement des sirènes quand les escadrons volants piquaient sur le convoi. Ce qui m'a permis de me rendre compte qu'en fait les gens ne criaient pas "Laisse Tuka", mais : " les Stukas !"
p 68
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Il y a deux sortes de souvenirs: les souvenirs chauds et les souvenirs froids. Les chauds sont ceux qui nous secouent le cœur et font de nous une nouvelle personne. Les froids sont plus intellectuels.
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Si on avait rien à se mettre sous l'horizon en guise de futur, on pouvait encore déguster ce qui se trouvait dans un rayon de cent mètres autour de là où nous étions.
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L'amour nous porte à faire toutes sortes de choses, des choses sublimes et des bêtises énormes, parce qu'on croit deviner ce que d'autre voudrait.
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Claire avait beau me croire un peu folle, je préférais ma folie à son indifférence.
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Mais il était là toujours. Il nous suivait. Il était mon secret, mon beau secret. Son visage arborait une expression de tristesse qui le rendait plus émouvant encore. Il me fortifiait, me donnait de l’importance. J’étais presque heureuse. C’était même incroyable d’être heureuse à ce point-là en plein milieu d’une guerre.
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« – Mais… y a un type qui s’appelle Giono, qui dit que la guerre « c’est inutile. Inutile pour moi. Inutile pour le camarade qui est avec moi sur la ligne de tirailleurs. Inutile pour le camarade en face ». Alors, papa, la guerre, au bout du compte, si c’est inutile pour tous ces gens-là, à quoi ça nous sert, à nous? »
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« À quoi ressemblait un ennemi de près? Quels visages avaient-il, ces monstres, ces violeurs, ces tueurs d’innocentes victimes? Figurez-vous qu’ils ressemblaient terriblement à des hommes. »
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« La vérité, c’est que je ne voulais tuer personne, jamais, ni un Allemand, ni qui que ce soit d’autre. Je refusais d’ôter la vie, quel que ce soit l’affront subi. L’œil pour œil n’avait jamais fait partie de ma philosophie. « Je préfère vivre. Je préfère vivre et tuer la guerre (…) Je préfère m’occuper de mon propre bonheur? » « (Refus d’obéissance de Jean Giono)
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J’ai essayé de penser à la naissance des petits chats derrière le poêle, mais je pensais aux Allemands, j’ai essayé de penser à l’orange qu’on m’avait offerte à Noël, mais je pensais aux Allemands, j’ai essayé de penser à mon père le jour où il était rentré tout ruisselant d’orage, mais je pensais aux Allemands,et ça ne me faisait pas plaisir… et je n’étais pas la seule.
Les autres aussi y pensaient.
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