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Citations sur Pour Clara 2021 (18)

L’élite ne se constitue pas à partir des types des cités.
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Dans la vie, il y a trois sortes de personnes : les Enthousiastes, les Mitigés et les Apathiques.
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-Souvent, on dit que l'amour, c'est avant tout un partage, partage du corps et de l'âme, d'instants et d'heures. Lui, il a partagé avec moi un truc qu'il aimait vraiment. Il m'a offert sa passion, en fait. Éloïse, c'est la première fois que je suis "tombé amoureux" ; et s'il y une chose dont je suis certain, c'est que je ne l'oublierai jamais. Tu connais les phases nostalgiques ? Bah, je suis dedans en ce moment. Marre de la routine, marre du quotidien... mélancolie. J'ai juste envie de m'évader un peu, de sentir à nouveau ce que j'ai ressenti pendant les vacances. Mais je ne peux pas le faire seul. Tu comprends ? Aujourd'hui, cette "évasion", je ne veux plus seulement qu'elle prenne le goût amer de l'amour au passé ; je veux aussi qu'elle prenne celui de l'amitié au présent. Alors, qui d'autre que ma meilleure amie pour la partager ?
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Écrire a toujours été une évidence. Toujours. Les mots ouvrent une infinité de portes, donnent corps aux rêves les plus fous, apaisent les flots de l’inspiration en la laissant voguer au gré des histoires. Ils permettent de s’évader, plus loin, sans cesse. L’écriture est exigeante, mais elle vous procure ce sentiment d’être libre et unique.
(Ève Renard, page 144)
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Elle t’offre un sourire croissant au beurre, le genre de chose qu’Alice dirait. Cette fille, c’est une fantaisie dérangeante, un surréalisme en retard. Tu lui retournes son sourire.
(Ta bohème, Bertille Bricou, page 128)
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Tes dessins sont somptueux. Il n’y a pas de proportions, liberté de toutes normes et pourtant tout y est puissamment réussi.
(Ta bohème, Bertille Bricou, page 125)
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T’es un enfant du béton, une fleur à la lisière du trottoir là où poussent les mauvaises herbes. Tu t’engouffres dans la gare. Tu aimes aussi son odeur, aigre, une odeur de pisse et de cuivre. Tu montes sur le quai, la chaleur de l’été te caresse la peau. C’est d’une violence douce, un peu lourde. T’aimerais te barrer loin… Pour aller où ?
(Ta bohème, Bertille Bricou, page 114)
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C’est vrai qu’on est bien tous les deux, vieillissant côte à côte, suivant une même routine sous le ciel gris : œufs, boulot, cigarette, télé, cognac. J’aime bien quand il boit son cognac, avachi dans son grand fauteuil en tissu rouge. La chaleur emplit la pièce, l’odeur de tabac s’incruste dans mes narines, je perds la notion du temps, moi-même assise dans mon fauteuil, le corps mou, épuisée, le souffle court comme après avoir couru sous la pluie, semblable à une première taffe de clope. Il ne fait pas attention à moi, ses yeux vissés sur la télévision, mais moi, je fais attention à lui. Il est immobile, ancré d’une telle façon qu’on pourrait croire que le mobilier fait partie de son corps.
(Le repas du dimanche soir, Luna Dauger, pages 96-97)
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Il (Armin) avait su, par un ami rencontré à la porte de Pantin, que les bibliothèques étaient de merveilleux endroits ouverts aux migrants, où ils pouvaient passer tout leur temps et rester au chaud. En particulier, la bibliothèque de la Villette, qui offrait des cours de français et d’informatique aux migrants.
(La silhouette de l’ombre, Camille Benveniste, page 87-88)
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Tandis que sa fille parle, Sahar regarde Armin. Il devient un beau jeune homme, bien bâti, pense-t-elle non sans une certaine fierté. Ses yeux brillants couleur noisette lui donnent un air doux, presque timide, et sa mâchoire carrée, qui contraste avec son regard, lui donne un charme farouche. Le fils de Sahar a des cheveux d’un noir particulier, couleur ébène. Ils sont bouclés et certaines mèches retombent gracieusement sur son front.
(La silhouette de l’ombre, Camille Benveniste, page 61)
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