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Critique de Nebulas
Les oeuvres de l'auteur Pascal Quignard me posent toujours un challenge. Je trouve son style d'écriture un peu difficile à lire. J'ai besoin de beaucoup de concentration pour vraiment comprendre ses textes. J'ai lu « Tous les matins du monde » et « Terrasse à Rome ». Ces livres étaient difficiles à lire, mais j'ai eu de satisfaction aussi, car ce sont quand même des oeuvres littéraires !
L'oeuvre « Les ombres errantes » était alors mon troisième livre de Pascal Quignard. Contrairement aux premiers deux, ce troisième oeuvre est une grande déception. Je trouve que le sens et la beauté, ils manquent. C'est un livre qui présente seulement des remarques et des pensées qui n'ont pas de rapport. Ce sont des textes ennuyeux et énigmatiques sans quelconque intérêt (au moins, pour moi). Clairement, je n'ai pas compris la signification de ce livre. Vraiment, je n'ai pas apprécié le style et je n'ai pas du tout aimé la lecture. Je l'ai terminé, ce livre étrange, mais seulement après avoir recommencé maintes fois.
Le mot pour exprimer brièvement mes sentiments après avoir tourné la dernière page : l'étonnement. C'est étonnant pour moi que ce livre a gagné un prix littéraire français. C'est aussi étonnant que j'ai échoué à trouver quelque chose intéressante dans ces 190 pages. Clairement, l'éducation et la civilisation me manquent pour être capable d'apprécier cet oeuvre. Quelque part dans le livre l'auteur écrit que « Benedictus Spinoza appelait les Hollandais les derniers des barbares ». Peut-être, même 350 années plus tard, mon compatriote a-t-il encore raison dans mon cas.
Le livre a gagné le Prix Goncourt en 2002.
Lien : http://nebulas-nl.blogspot.n..
L'oeuvre « Les ombres errantes » était alors mon troisième livre de Pascal Quignard. Contrairement aux premiers deux, ce troisième oeuvre est une grande déception. Je trouve que le sens et la beauté, ils manquent. C'est un livre qui présente seulement des remarques et des pensées qui n'ont pas de rapport. Ce sont des textes ennuyeux et énigmatiques sans quelconque intérêt (au moins, pour moi). Clairement, je n'ai pas compris la signification de ce livre. Vraiment, je n'ai pas apprécié le style et je n'ai pas du tout aimé la lecture. Je l'ai terminé, ce livre étrange, mais seulement après avoir recommencé maintes fois.
Le mot pour exprimer brièvement mes sentiments après avoir tourné la dernière page : l'étonnement. C'est étonnant pour moi que ce livre a gagné un prix littéraire français. C'est aussi étonnant que j'ai échoué à trouver quelque chose intéressante dans ces 190 pages. Clairement, l'éducation et la civilisation me manquent pour être capable d'apprécier cet oeuvre. Quelque part dans le livre l'auteur écrit que « Benedictus Spinoza appelait les Hollandais les derniers des barbares ». Peut-être, même 350 années plus tard, mon compatriote a-t-il encore raison dans mon cas.
Le livre a gagné le Prix Goncourt en 2002.
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