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John Rebus est de retour à la Criminelle sous l'autorité de Siobhan Clarke , qu'il a lui même formée et qui est comme qui dirait ,sa fille spirituelle et adoptive.... Il faut dire qu'il a rétrogradé , rapport à son manque de respect des procédures et de l'autorité , il est maintenant sergent, mais son flair est toujours au top et ses éclairs d'intuition toujours géniaux , Rébus, c'est un flic à l'ancienne comme on en fait plus, un type qui connait autant d'indics que de flics , un policier qui ne lâche rien tant qu'il n'est pas remonté à la source.
Lui et Siobhan doivent enquêter sur un accident , une jeune femme a été blessée alors qu'elle était au volant . Mais pour Rebus, cette affaire n'est pas claire, il est sûr qu'elle n'était que passagère et que le conducteur s'est enfui.
Qui ?
Pourquoi?
Alors que notre sergent remonte le fil de la pelote de laine... un certain Malcom Fox (que nous avons déjà croisé dans d'autres romans ...), du service des Plaintes , enquête sur des faits vieux de 30 ans , qui pourrait incriminer Rebus ou ses anciens collègues et amis.
On ne balance pas des amis de 30 ans .
[ Enfin, peut-être en politique mais pas dans la police... ].

Rentrer dans un roman de Ian Rankin (moult fois récompensé ), c'est y rentrer pour l'atmosphère.. Ses romans "respirent" l'Ecosse et sa ville d'Edimbourg. On y mange des tourtes à la viande et on y boit des bières dans des pubs. Ses enquêtes y sont soignées et besogneuses , ici ,pas de suspens à couper le souffle.
Si vous ne connaissez pas cette série , je vous conseille de commencer par le 1°:"L'étrangleur d'Edimbourg".
Si je devais décrire l' inspecteur Rebus , je dirais qu'il est plutôt taciturne, solitaire ... hum...légèrement alcoolique et obsédé par son travail . Il conduit une Saab, et écoute des vinyls, mais attention, hein... Que du bon !

- " Hey ,ça fait combien de temps qu'on se connait, John? "Tu dis ,19 tomes?
- "Ouais , ça doit être ça."
[Je les ai tous lu. Lui et moi on s'entend bien... ]
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Une intrigue dont la racine est dans le passé et qui s'appuie sur la réalité politique complexe du referendum pour l'indépendance de l'Écosse.

L'action se déroule à Édimbourg où John Rebus sort de la retraite pour reprendre du service à la brigade criminelle à titre de sergent et sous les ordres de de son ancienne subordonnée et amie, Siobhan Clarke.

Pendant qu'ils enquêtent sur un banal accident de la route, où certains faits ne collent pas, une procureure ambitieuse demande à Malcolm Fox, des enquêtes internes, d'enquêter sur un très ancien meurtre qui aurait été couvert et maquillé par l'ancienne équipe de John Rebus, celle de ses débuts, qui se faisait appeler Les Saints de la Bible d'Ombres.

Ian Rankin est définitivement un excellent conteur et encore une fois il nous offre des dialogues et des situations qui sonnent justes, Et vive le cynisme nostalgique et la mauvaise foi de John Rebus, Il est absolument incomparable.

Ce roman est passionnant. Impossible de terminer un chapitre sans débuter le suivant! C'est à lire.
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J'ai lu récemment que Ian Rankin confiait lors d'un entretien qu'il avait commencé à écrire trop jeune et qu'il avait dû pondre une demi-douzaine de romans pour qu'il s'améliore et que ses personnages s'étoffent. Je partage ce point de vue et la lecture de Saints of the Shadow Bible me confirme que ses livres plus récents sont bien plus intéressants que les premiers.
Nous retrouvons ici John Rebus qui a réintégré le CID d'Édimbourg après un bref passage à la retraite. Mais il travaille désormais sous les ordres de Siobhan Clarke, la jeune inspectrice à qui il a mis autrefois le pied à l'étrier, et il a été réintégré avec le grade de sergent, difficulté supplémentaire pour lui qui a du mal à se plier à une quelconque discipline hiérarchique. Pas de chance, les Affaires internes, en la personne de l'agent Malcom Fox, s'intéressent à une vieille affaire survenue autrefois au CID de Summerhall dont les policiers s'appelaient entre eux les Saints de la Bible d'Ombre, une sorte de confrérie informelle qui préférait appliquer ses propres méthodes – souvent peu orthodoxes – pour lutter contre le crime plutôt que d'appliquer le code de procédure pénal écossais. Tout jeune sergent, Rebus avait fait partie du groupe et le voici confronté à un passé qu'il aurait préféré oublier. Par ailleurs, l'étrange accident de voiture de la jeune Jessica Traynor et l'assassinat présumé de Patrick McCuskey, le ministre de la justice et l'ardent défenseur du oui au référendum sur l'indépendance de l'Écosse, viennent interférer avec le passé trouble de Summerhall. En effet, Stefan Gilmour, le chef de file des partisans du non, était l'inspecteur et l'initiateur des Saints avant sa démission suite à un fiasco judiciaire retentissant.
Ian Rankin concocte une enquête riche en rebondissements et chausse-trappes. le tandem Rebus-Fox, mal assorti, fonctionne de manière épatante, selon une dialectique bière IPA/Coca-Cola, et le puzzle qui s'assemble sous nos yeux, empreint de nostalgie et de culpabilité, montre le réglage au millimètre près d'une intrigue tortueuse à souhait.
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Quand on met John Rébus à la porte du poste de police ou de l'Oxford Bar, il revient par la fenêtre ! Quitte à perdre du galon et à diminuer sa consommation de IPA. Pour le plus grand plaisir des lecteurs de Ian Rankin et des amoureux d'Edimbourg. Une double enquête sur fond de campagne politique sur l'avenir de l'Ecosse impliquant politiciens, hommes d'affaires aux méthodes musclées et truands locaux. Cela alors que son passé semble rattraper Rébus et, qu'entre témoin et enquêteur, sa position est plus que délicate. C'est admirablement construit, comme toujours et c'est un roman qu'on ne lâche pas.
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Ian Rankin OBE, né en 1960 à Cardenden, village minier à quelques dizaines de kilomètres au nord d'Edinbourg, est un auteur écossais de romans policiers, de nouvelles, de romans d'espionnage et de critiques littéraires. A l'Université d'Edimbourg il étudie la langue et la littérature anglaise, et obtient en 1982 son Master of Arts, spécialité littérature américaine. Entre 1982 et 1986, il travaille à sa thèse de doctorat sur la fiction moderne écossaise, tout en s'investissant de plus en plus dans sa propre écriture. Après l'université, et avant son succès comme romancier, Rankin exerça un certain nombre de métiers, comme vendangeur, porcher, percepteur, chercheur en alcoologie, journaliste hi-fi, secrétaire de collège et musicien punk. S'il a publié trois ouvrages sous le pseudonyme de Jack Harvey, Ian Rankin est surtout connu pour ses nombreux polars ayant l'inspecteur Rebus comme héros comme dans ce, On ne réveille pas un chien endormi, son dernier opus, paru il y a quelques mois.
John Rebus qui a réintégré la Crim', rétrogradé sergent sous l'autorité de l'inspecteur Shiobban Clarke son ancienne disciple, enquête sur un accident de voiture à priori banal. Par ailleurs, une nouvelle loi vient de passer au Parlement, elle autorise le réexamen d'affaires criminelles en levant la durée de la prescription. Une affaire de bavure policière avec mort d'homme, vieille de trente ans est rouverte par Malcom Fox, avec Rebus en ligne de mire. Ses anciens collègues de Summerhall, qui s'appelaient entre eux les Saints de la bible d'ombre, sont soupçonnés d'avoir falsifié des preuves pour innocenter l'un d'entre eux.
Il est finalement assez difficile de chroniquer un polar de Rankin avec Rebus car on ne peut que se répéter de livre en livre. L'intrigue est du genre classique, c'est-à-dire double, l'accident de voiture banal va impliquer indirectement un ministre et de façon collatérale se mêler à la réouverture du dossier sur la vieille bavure policière. Je vous la laisse découvrir car ce n'est pas cela le plus intéressant. le principal atout de l'écrivain c'est son écriture, plus précisément, le rythme qui anime son bouquin tout en dialogues vifs et percutants ; bien qu'assez long et sans que l'intrigue soit époustouflante (mais très correcte néanmoins), on ne lâche pas le livre qu'on dévore avec un plaisir sans retenue. Ajoutons dans ce roman, des thèmes intéressants comme : lois et justice qui ne s'accordent pas toujours pour vaincre « le mal », la confrontation entre les promesses faites jadis et la réalité d'aujourd'hui… un décor mélancolique/nostalgique tel que le ressent Rebus, un homme d'un autre âge, « un spécimen de flic qui n'était plus censé exister, une espèce rare et protégée, dont les jours étaient comptés », face à l'évolution de sa ville d'Edinbourg, « Une capitale, cette ville ? C'est ce qu'on est en train de lui faire subir qui est un crime capital. » La quatrième de couverture évoque un roman sur fond de référendum sur l'indépendance de l'Ecosse : un fond, certes, mais vraiment un fond du fond…
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Un auteur ici au mieux de sa forme pour un polar très dense.
Pas de préliminaire, pas d'exposition ni de présentation des acteurs, mieux vaut déjà connaître John Rebus et le contexte.
Dès les premières pages, nous voici plongés au coeur de plusieurs intrigues policières et même de plusieurs enquêtes qui vont s'entrecroiser pour notre plus grand plaisir. Rankin ne prend pas son lecteur pour un demeuré et le laisse faire son chemin au milieu de tout cela.
Les boeufs-carottes entreprennent de déterrer une vieille histoire, du temps où Rebus était encore un tout jeune inspecteur, en équipe avec ses aînés du commissariat de Summerhall, pas très regardants sur les méthodes pour envoyer les voyous en prison. En ce temps-là messieurs, 'on' aurait permis à un indic' d'éviter la prison pour meurtre.
'On', ce sont les Saints de la Bible d'Ombre, la confrérie de Rebus & co pour qui la juste fin excusait des moyens moins nobles.
Pendant que l'Inspection générale inspecte les recoins sombres, John Rebus et sa collègue Siobhan Clarke se dépatouillent avec un imbroglio où se sont fourrés les sales gosses de deux célébrités locales : un homme d'affaires en vue et un politicien ambitieux (on est en pleine campagne pour le référendum d'indépendance).
Flics et voyous, passé et présent, malfrats et politiciens, tout cela s'entremêle dans un polar à haute densité. Heureusement le lecteur n'a qu'à suivre John Rebus et admirer son talent inné pour mener une enquête et faire parler les moins bavards.
John Rebus est le cousin transatlantique de Harry Bosch et comme les précédents, cet épisode baigne dans les thèmes chers à Ian Rankin : polar urbain entre deux âges et entre deux eaux, la Leith et la Clyde, compromissions policières, mafieuses, politiciennes ou affairistes, quelque part entre chien et loup ...

[...] Les bons ne sont jamais complètement bons et les méchants jamais complètement méchants.
[...] — Et tu crois vraiment que la vérité est indispensable?

Dans l'Écosse de Rankin, la vérité n'est peut-être pas indispensable. Mais la lecture de ses bouquins, assurément.
Pour celles et ceux qui aiment les flics en pré-retraite.
Lien : http://bmr-mam.blogspot.fr/
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Ian Rankin retrouve son héros vieillissant, John Rebus, désormais Sergent sous les ordres de Siobhan Clarke et en lien avec Malcolm Fox, du service des Plaintes....
Etais-je moins concentrée? J'avoue avoir un peu peiné à retrouver une écriture que j'apprécie d'habitude. L'intrigue mêle plusieurs histoires, qui se déroulent aujourd'hui ou remontent aux débuts de la carrière de Rebus, lorsque la police écossaise avait moins à se soucier de l'éthique et se contentait de faire du bon travail....selon ses propres codes.
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Avec ce livre, j'ai fait connaissance avec l'auteur et son personnage d'enquêteur, John Rébus, écossais. C'est le tome 19, mais comme j'ai aimé ce personnage, je vais le découvrir dans sa jeunesse je suppose, avec le tome 1.
John Rébus réintègre la Criminelle mais il a été rétrogradé. On ne sait pas pourquoi, il faudrait lire le ou les tomes précédents. Il travaille maintenant sous les ordres de son ancienne collaboratrice, bien plus jeune que lui.
Une ancienne affaire vieille de 30 ans va surgir, Rébus va être soupçonné de falsification de preuves avec d'autres anciens policiers. Un policier du service des plaintes va mener l'enquête. Un étrange accident de voiture, en apparence banal, dont la résolution va se révéler plus complexe que prévu, va titiller Rébus. Nous avons donc affaire à une double enquête impliquant des personnages influents et politiques. Une petite touche d'humour parsème les dialogues, ce qui m'a bien plu.
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Les auteurs de romans policiers lisent-ils les ouvrages de leurs confrères

On peut s'interroger les héros de Ian Rankin et de Michael Connelly, Rebus et Harry Bosch, ont de nombreux points communs.

J'ai au cours de mes lectures suivi leurs parcours professionnelles comme leurs vies privées. J'ai constaté que leur façon, pas toujours "dans les clous", de conduire les enquêtes entraînait parfois des périodes de suspension. Ils ont vieilli et l'âge du départ en retraite a sonnée (comme pour moi ). Heureusement Rankin et Connelly n'ont pas abandonné leur personnage. Ils leur ont fait reprendre du service en étant rétrogradé pour Rebus qui d'inspecteur redevient Sergent ou muté aux affaires non résolues pour Bosch. Avec l'âge ces deux personnages m'apparaissent plus apaisés, et l'alcool moins présente.

Dans "on ne réveille pas un chien endormi", Rebus travaille sous les ordres de Siobhan Clarke, jeune femme dont il a assuré la formation.
Enquêtant à la suite d' un accident de voiture, un indice (une chaussure coincé à la place du passager) lui permet d'émettre un doute sur l'identité du conducteur...ce sera le départ d'une enquête beaucoup plus complexe qu'un seul accident de la route.
Au même moment le Ministère Public décide de rouvrir le dossier concernant le décès, 30 ans auparavant d'un suspect, persuadé que la police aurait manipulé et falsifié des preuves. Au moment des faits Rebus venait d'intégrer la police. Lui et ses anciens collègues seront entendus de nouveau par l'inspecteur Malcom Fox du service des plaintes.
Enfin Rebus, qui n'abandonne jamais une affaire non totalement résolue, harcèle un ancien taulard afin de lui faire avouer le lieu où il a du enterrer, il y a 11 ans, sa compagne.

Au début du roman on est un peu perdu avec tous les protagonistes des différentes affaires, puis on trouve le bon rythme et enfin on dévore ce nouvel ouvrage.
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Avant de commencer ma critique, je dois vous avouer que je n'avais pas compris que ce livre s'inscrivait dans le sillage de plusieurs autres ouvrages dont l'inspecteur John Rebus est le héros. Par conséquent, j'ignorais qu'il s'agissait, en quelque sorte, d'une suite. J'ai donc été assez désappointée lorsque j'ai remarqué que les personnages n'étaient ni présentés, ni décrits. Et, c'est d'ailleurs à cause de cela que j'ai commencé à m'interroger. En fin de compte, j'aurais sans doute dû mieux me renseigner avant de me procurer ce livre ... Mais bon, ce qui est fait est fait alors passons à la suite !

Pour moi, ce livre n'a clairement pas été un coup de coeur. D'une part, c'est dû à son rythme trop lent. Et, d'autre part, le fait que qu'il fasse partie de la série des "Rebus" y est pour beaucoup puisque j'ai eu énormément de mal à visualiser les personnages. On peut supposer que l'auteur, qui a déjà écrit dix-huit autre livres dont John Rebus est le héros, ne désire pas décrire son personnage fétiche à chaque fois et c'est tout à fait compréhensible. Cependant, cela m'a beaucoup perturbé, et pas uniquement en ce qui concerne le héros de cette série policière. de nombreux autres protagonistes sont simplement identifiés par leur nom et il est donc difficile de mettre un visage sur ces noms. Pour la petite anecdote, j'ai visualisé l'un des personnages récurrents de cet ouvrage comme quelqu'un de frêle pendant quasiment toute ma lecture. Et, ce n'est qu'à l'approche de la fin que j'ai appris qu'il était en réalité assez costaud ! J'ai trouvé cela très frustrant !

Par ailleurs, le fait de commencer la série en cours de route ne nous permet pas de bien cerner toutes les relations qui existent entre les personnages. Et, cela débouche sur une incompréhension globale des situations dans lesquelles se trouvent certains d'entre eux (pourquoi untel et untel sont-ils constamment en conflit ? Qui est ce personnage qui n'intervient que peu de fois et semble pourtant avoir un passif important avec un autre protagoniste ? Et ainsi de suite).

En somme, il est un peu difficile de suivre ce qui se passe entre les personnages. Néanmoins, cela n'empêche absolument pas de comprendre l'histoire en elle-même. Et, l'intrigue est très intéressante ! Deux enquêtes sont menées en parallèle, l'une concernant un troublant accident de voiture, l'autre portant sur une affaire de falsification de preuve ayant potentiellement eu lieu trente ans auparavant, et Rebus doit jouer sur les deux tableaux ! J'ai vraiment apprécié cet entrelacement d'enquêtes et tout ce que cela impliquait. Durant la majeur partie du récit, on se demande jusqu'à quel point notre héros est impliqué. Est-il coupable ? Son équipe l'est-elle ? Qui croire ? Et, le dénouement n'en est que plus intéressant !

De plus, j'ai beaucoup aimé le personnage de Rebus. Il m'a bien fait rire ! Et, j'ai apprécié de suivre (autant que l'auteur nous le permettait) le cheminement de ses pensées, mais surtout l'évolution de sa façon de voir les choses. Il est sujet à une énorme remise en question dans cet ouvrage, ce qui constituait l'un des intérêts majeurs de l'intrigue !

En conclusion, je ne suis pas très fan de ce livre, mais cela s'explique assez simplement. D'une part, c'est le énième livre d'une série dont j'ignorais tout. Et, d'autre part, je ne le lis pas si souvent que ça ce genre de livres, alors peut-être que ce n'est pas fait pour moi !
Lien : http://lesportesdelimaginair..
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Jaune, le rébus ? Non, John Rebus !

Salut, moi c'est John, Rebus, drôle de nom pour un flic. Je suis d'Edinburgh, mon père est Ian Rankin, il m'a collé tous les défauts possibles, je fume, je bois etc..., mais question traque des malfrats de toute espèce je suis au TOP. Tout ça a commencé lorsque j'ai quitté l'armée pour rentrer chez les flics, c'est ce qui y ressemblait le plus. Ma première enquête à Edinburgh, que je connais comme ma poche, a consisté a mettre sous les verrous, le fameux ............ d'Edinburgh. Un frappé rodant dans la bibliothèque, tuant de très jeunes filles…sans lien apparent entre elles.

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