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Critique de FabtheFab


Nouchka rêve de s'inscrire à un cours de danse classique au studio de la rue des Moineaux mais sa famille préfère le style gipsy, les guitares manouches, les clarinettes tsiganes ou les violons yiddish. Elle obtient de ses parents de démarrer les cours ; après l'achat des fournitures nécessaires, il y a le stress des premiers cours mais elle y rencontre bientôt de nouvelles amies, Carmen, Adèle et Bérénice. Bientôt, sa maman, enceinte, part à l'hôpital et elle en revient seule, triste et déprimée… Nouchka ne comprend pas…

Anne Rehbinder est née en 1979 à Toulouse. Après une licence de lettres modernes, elle entre à l'atelier Réflexe. Elle entreprend ensuite une maîtrise sciences et techniques de photographie à l'université Paris 8. Elle participe régulièrement à des expositions en France et en Europe et à l'édition de livres de photographies. Une partie de ses oeuvres fait partie du fond départemental d'art contemporain du 93. Parallèlement à ce travail d'auteur, elle travaille pour la presse culturelle, pour des compagnies de théâtre, de danse et pour des lieux culturels. Elle mène également depuis 2002 des ateliers d'éveil au regard et à la photographie auprès de divers publics à Paris et en Seine-Saint-Denis.” source : Ricochet

En littérature pour la jeunesse, elle a publié Les Giètes en 2007 chez Thierry Magnier dans la défunte collection Photoroman, Beurre breton et sucre afghan en 2021 chez Actes sud jeunesse, La pointe du compas en 2022 chez Actes sud jeunesse dans la collection D'une seule voix.

Il s'agit d'un roman sur la perte d'un enfant à la naissance. le point de vue est celle de la grande soeur qui imagine tout d'abord perdre l'amour de sa maman à l'arrivée du petit frère puis doit faire face au deuil. La famille trouve des forces dans son amour mutuel. Ce roman aborde un sujet peu développé en littérature pour la jeunesse et peut ainsi répondre à une demande. Anne Rehbinder dédie ce texte “A ma petite soeur manquante, Sophie”.


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