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3,65

sur 671 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Vous dire combien ce livre m'a déplu serait déplacé.
Je vais plutôt souligner le déplaisir que me procurent généralement la dissimulation, la simulation, l'indiscrétion. du coup, Nous irons mieux demain ne pouvait me plaire.
J'éviterai à l'avenir Tatiana de Rosnay dont la plume faiblit avec le temps. Je veux préserver la bonne impression de Elle s'appelait Sarah, un peu atténuée avec Les fleurs de l'ombre. J'avais apprécié aussi Boomerang, très bien rendu au cinéma, de même que Sarah.
Donc, j'ai acheté sur la réputation d'une auteure qui cette fois, m' a paru essoufflée, semant à tous vents des thèmes qui à eux seuls, aurait mérité le rôle principal. Subordonnées inutiles, détails superflus, remplissage, procédé de retours en arrière sur les vingt dernières pages gomment les quelques passages justes et bien sentis.
Les malheurs de Candice m'ont laissé de marbre, peut-être impropres à attendrir mon regard trop masculin.
Cruelle déception.

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Je referme le dernier roman de Tatiana de Rosnay et je me mets à rêver....

Quelques mois plus tôt dans les locaux des éditions Robert Laffont :

DIRECTEUR LITTERAIRE: Ca y est patron, le prochain Tatiana sera
uniquement aux couleurs Robert Laffont ! Nous attendons son manuscrit sous peu...
PATRON : Là, il nous faut un gros coup, il faut qu'elle explose les tirages ! Je lui fais confiance, je sens qu'elle va donner le meilleur d'elle-même. Virginie Grimaldi et Mélissa Da Costa vont pouvoir aller prendre quelques cours d'écriture si elles veulent rivaliser !

Quelques semaines plus tard :

PATRON : Dis-moi Aymeric, c'est quoi ce titre du prochain Tatiana !?! Tu n'as pas pu lui faire changer ?
DIRECTEUR LITTERAIRE ( embêté) : Pour le moment non, elle tient absolument à le garder car elle souhaite, avec le changement d'éditeur, évoluer vers un genre un peu plus littéraire ...
PATRON : Elle rêve ou quoi !!! Elle croit qu'avec " L'infinie abstraction du passé " les lecteurs vont la suivre ? Je veux du feel good, une héroïne dans laquelle les lectrices vont s'identifier dès la première ligne, des problèmes mais qui se résolvent, enfin, tu sais non... Tu l'as lu son truc ? Ca parle de quoi ?
DIRECTEUR LITTERAIRE ( encore plus embêté): C'est l'histoire d'une célibataire cinquantenaire, tellement passionnée d'Emile Zola qu'elle habite dans l'ancien appartement de la maîtresse de l'écrivain. Persuadée que l'histoire des murs qui l'entourent ont une influence sur sa vie, elle mène une double vie avec deux foyers, l'un avec un homme et l'autre avec une femme ...
PATRON ( s'étranglant) : Mais elle est tombée sur la tête ! Un couple lesbien ... On peut être moderne mais tu crois que la lectrice de Lamotte Beuvron va s'identifier à une vieille gouine ?!!! Et puis, Zola, quelle idée de le déterrer ! J'espère qu'elle ne nous inflige pas une bio complète du vieil Emile...
DIRECTEUR LITTERAIRE ( dans un murmure) : Si ...quand même...
PATRON ( évidemment énervé) : Mais elles s'en foutent les lectrices de Zola ! Elle veulent du quotidien magnifié les lectrices, de la romance moderne avec des problèmes qui trouvent de jolies solutions ! Tu crois que Virginie de Mayenne, avec son travail en usine et des mômes qui foutent rien au collège, elle va s'intéresser à une goudou avec deux foyers et qui en plus bave devant un écrivain que plus personne ne lit ?! Tu invites Tatiana à bouffer, tu lui expliques gentiment qu'on ne fait pas de best-seller avec de l'intelligence mais avec de bonnes histoires et des bons sentiments ! Elle le sait pourtant! Si elle veut un Goncourt, ce n'est pas chez nous qu'il fallait qu'elle aille !

Encore quelques semaines plus tard :
Un peu plus sur le blog

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Bof bof bof.... que ce livre, semblant bien prenant au début, devient vite long et lourd, chargé d'invraisemblances en raison du ramassis de situations évoquées.
Tout y passe, la vie et la mort du père, la boulimie de la fille, l'envahissement de la patiente, la colère de la soeur, les amours de Zola, et j'en oublie d'autres sûrement, trop c'est trop !
Je l'ai terminé par curiosité mais je ne le recommande pas, désolée Madame de Rosnay.
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Je n'ai pas arrivé à rentrer dans l'histoire.
Une femme Dominique se fait renverser par une voiture et est amputée d'une jambe.
Candice l'a prend d'amitié et l'aide à affronter cette terrible épreuve maïs Dominique prend énormément de place dans sa vie, déjà tourmentée par un problème de boulimie .
Dominique est une grande admiratrice d'Emilie Zola et nous fait partager tout au long du roman la vie de l'écrivain et sa passion pour lui .
Une histoire assez longue et sans surprise .
Amoureux d'Émile Zola ce livre est pour vous.
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J'ai été très attirée par le résumé, mais quelle déception à la lecture. Je suis complètement passée à côté. Je n'ai pas réussi à m'attacher aux personnages, je les ai même trouvé agaçants. de plus, je n'ai vraiment pas compris l'intérêt du fil rouge autour d'Emile Zola, ça fait partir l'histoire dans tous les sens, on s'y perd.
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Une histoire d'amitié assez inattendue entre deux femmes qui ont besoin l'une de l'autre sans vraiment s'en apercevoir. Les personnages m'ont parfois exaspéré et je ne me suis pas sentie proche de ces femmes. L'histoire est assez platonique. Peut-être que mon avis est également biaisé par le fait que j'ai écouté ce livre en audio lu par l'auteure. Sa voix et son livre ne m'ont pas transporté.
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Candice, jeune mère d'un petit Timothée, séparée, assiste à un grave accident qui implique une certaine Dominique avec qui elle finit par faire connaissance. La solitude de Dominique est telle que Candice se sent investie par une mission, l'aider surtout que Dominique doit faire face à une amputation.
Un lien particulier se lie entre les deux femmes qui est mal compris par l'entourage de Candi. Est-elle victime d'une manipulatrice ? D'une amitié vampire ?
Mais vous n'aurez pas la réponse à cette question. Chacun aura son mot à dire et chacun pourra se faire sa propre opinion
Cependant l'auteure met l'accent sur les relations doubles, cachées en mettant en avant l'histoire de la double vie de Zola qui a aimé 2 femmes sans jamais choisir. Dominique va transmettre à Candice sa passion pour l'auteur, et se faire de plus en plus présente dans sa vie en prenant soin d'elle et de son fils Timothée, et inversement elle l'aide aussi, découvrant sa pathologie cachée.
Je suis restée un peu en dehors de l'histoire sans éprouver d'émotions mais plutôt quelques agacements. L'histoire ne m'a pas touchée du tout, j'ai appris des bouts de la vie de Zola, ses oeuvres je les connais je les ai aimées pour la plus part, seule sa vie personnelle m'est un peu inconnue, une biographie m'intéresserait donc.
Coté lecture : Candice travaille dans un studio d'enregistrement de voix et malgré le parallèle avec l'écoute audio que j'ai faite du livre, j'ai trouvé que l'auteure qui lit son propre texte, ça ne va pas du tout. La voix ne fonctionne pas, l'intonation n'est pas la bonne. Dommage, ce texte aurait peut-être pris en dramaturgie par une vraie comédienne voix.
Bref un roman aux secrets de famille multiples, un peu trop mais qui a fait flop chez moi. désolée pour Tatiana de Rosnay dont j'avais aimé le Célestine du Bac, plus touchant par les contrastes entre les personnages, même si c'était aussi un peu caricatural comme histoire.
J'ai été un peu surprise par la fin de l'histoire qui éclaire un peu certaines facettes du personnage de Dominique.

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