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Émilie, à tout juste 30 ans, n'arrive à rien dans sa vie et a même des envies suicidaires. Côté affectif, son petit copain, Romain, est un vrai gamin, accro aux émissions de télé débiles et aux jeux vidéo. Elle a même tenter de rompre avec lui mais lui zappe totalement l'idée. Ses copines ne pensent qu'à faire la fête et sont un peu trop barrées pour elle. Et sa petite soeur, elle, réussit tout dans la vie et est comblée de par son boulot de pharmacienne et ses trois enfants. Son collègue de l'école primaire, un brin amoureux d'elle, voit bien que quelque chose ne va pas et lui conseille alors d'aller voir un psy...

Au scénario, Théa Rojzman traite avec humour et didactique de la psychanalyse. Comme Émilie ne va pas bien, elle décide d'aller voir quelqu'un, autrement dit un psy afin de l'aider à comprendre ce qui cloche, pourquoi elle se sent si mal et a des idées noires. Au fil des discussions, aussi bien avec cette dernière qu'avec des amies, Émilie va peu à peu mettre des mots sur ses maux. le parcours de la jeune femme est entrecoupé de séquences explicatives sur ce qu'est l'analyse, le transfert, le souvenir refoulé... Théa Rojzman dresse le portrait réaliste d'une trentenaire attachante mais l'ensemble manque de profondeur. le dessin d'Anne Rouquette est particulièrement simple et les couleurs trop flashy.
Un album intéressant qui dédramatise la psychanalyse...
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Emilie Geoly (fameux jeu de mots de ses parents !) est une institutrice trentenaire qui ne va pas très bien. Elle s'habille en vieille fille style Mary Poppins et sa pédagogie est plutôt vieux jeu : elle a réhabilité le bonnet d'âne. Son petit ami passe son temps devant la télé, sa soeur est insupportable de perfection, et elle a deux amies, l'une beaucoup trop belle et l'autre beaucoup trop dépressive. Sur les conseils d'un collègue, Emilie se décide à aller voir une psy. ● Dans cet album agréable à lire, la dépression est abordée de façon assez originale, même si l'on se demande au début où les autrices veulent nous emmener. ● L'humour omniprésent permet de faire passer une histoire qui ne serait autrement pas très joyeuse. Les dessins et les couleurs sont également attrayants. ● Des planches plus didactiques permettent de faire le point sur quelques notions de psychanalyse, sans que cela soit pesant ni rébarbatif. ● Un pastiche du tableau de Munch, le Cri, vous attend au milieu du récit. ● Il faut lire le tome 2 bien comprendre le premier tome. ● Merci à Presence de m'avoir fait découvrir cet album
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« Emilie voit quelqu'un » ne fait pas référence à un éventuel amant mais à un médecin, une psychiatre plus précisément.
Parce qu'Emilie ne va pas bien, même si elle a la trentaine, un conjoint, un boulot, un appartement, une voiture, de la famille et des amis.
Parce que parfois, en dépit de tout ça, et sans qu'on sache bien pourquoi, on ne va pas bien.
Un collègue l'oriente donc vers un psy.

Cette bande dessinée est très agréable à lire, Emilie est attachante et son mal être m'a ému.
Certaines pages sont un peu plus orientées vers des explications sur les symptômes de la dépression, sur le processus de l'analyse etc... mais cela reste fluide et en adéquation avec l'histoire.
Cela apporte des éléments de compréhension de ce qu'est une dépression, du fait que ça n'arrive pas forcément sans raison, que ça peut concerner tout le monde, et qu'on peut tout à fait s'en sortir avec de l'aide.
Les dessins ne m'ont pas forcément convaincus mais je pense qu'il s'agit là d'une simple question de goût.

J'ai aimé suivre le cheminement de cette jeune femme qui ne s'apitoie pas sur son sort, mais qui reconnaît qu'elle ne va pas bien et a besoin d'aide, une étape importante dans la guérison.
L'histoire n'est pas pour autant déprimante, car Emilie a de l'humour et certaines scènes sont assez cocasses.
Je remercie Babélio et les éditions Fluide Glacial pour cet envoi dans le cadre de l'opération masse critique.
J'ai beaucoup apprécié cette bande dessinée, intelligente et drôle à la fois.
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Encore une BD de trentenaire en pleine crise existentielle ? Emilie se trouve nulle, trop petite, elle n'aime pas son boulot, son mec est un gland - du genre à se passionner pour Top-Master-Chef alors qu'il ne cuisine pas, imaginez un peu le désastre - oui mais il a un chouette appart', alors à tout prendre...
Oui, encore une BD girly mais celle-ci, loin d'être futile, est en plus épicée de petits grains de folie jamais trouvés dans celles que j'ai lues jusqu'alors.
On comprend quand les auteurs lancent des clins d'oeil (j'en ai repéré deux) à Fabcaro, auteur de l'album 'Zaï, zaï, zaï, zaï' aussi génialement poilant que loufoque. Ces trois-là sont faits pour s'entendre, ils ont le même humour délirant.

Ce récit d'une thérapie est drôle, mais tendre et émouvant, aussi. Délire et sérieux alternent, les petits cours de psychanalyse en schéma sont un délice.

• Un grand merci à Babelio et aux éditions Fluide Glacial.

♪♫ en bande son : '2043', Alain Bashung
https://www.youtube.com/watch?v=Wp5ynXMaqf4
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Comprendre un peu, c'est déjà avancer un petit peu.
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Ce tome est le premier d'un diptyque. Il existe une édition rassemblant les deux : Après la psy, le beau temps : Émilie voit quelqu'un. Cette bande dessinée a été réalisée par Théa Rojzman pour le scénario et par Anne Rouquette pour les dessins et les couleurs. La première édition date de 2015. L'ouvrage compte 104 pages de BD.

Dans un cabinet de consultation, la psychanalyste est en contre-jour, et elle admoneste sa patiente Émilie Geoly. Elle lui indique que si elle est venue chercher un arbre pour s'accrocher aux branches, elle s'est trompée de personne. Elle n'est pas un arbre, encore moins une branche. Madame Marguerite Soulac ferme les rideaux de la fenêtre, s'assoit sur sa chaise, prend son carnet de notes et demande ce qui arrive à Émilie. Elle répond qu'elle commence une dépression. Elle vient d'avoir trente ans et elle a envie de mourir tellement elle n'arrive à rien dans sa vie. Voilà ce qui lui arrive. Il y a trois semaines, Émilie avait tenté d'avoir une conversation sérieuse avec Romain, son conjoint, pour lui annoncer sa volonté de rompre. Celui-ci regardait une émission culinaire, au grand dam de sa copine qui sait très bien qu'il ne cuisine jamais rien. Elle n'était pas parvenue à détourner son attention de la télé assez longtemps pour déclarer son intention, et avait fini par retourner à la cuisine, tout en se grattant l'avant-bras droit de manière compulsive. Par défaut, elle l'en informe par texto. Elle regarde le chat faire des pitreries sur le rebord de la fenêtre. Romain arrive dans la cuisine en lui indiquant qu'elle a dû se tromper de destinataire. Elle le détrompe, et de rage il jette son téléphone par terre et le brise en mille morceaux à coups de talon nerveux.

Après ce moment d'égarement de Romain, Émilie s'assure qu'il va bien : il répond positivement et fait un signe au chat qui le regarde par la fenêtre, son esprit étant déjà en train de papillonner. Cela a le don d'agacer Émilie qui le somme de prendre ses affaires et de dégager. Il lui rappelle que c'est son appartement à lui. Elle déprime déjà à l'idée de devoir faire ses cartons et lui propose qu'ils se donnent une deuxième chance. Il accepte, va se prendre une bière dans le frigo et retourne à son émission culinaire. Elle se remet à se gratter le bras de manière compulsive. Elle sort et va prendre un verre en terrasse avec sa copine extravertie Mélanie qui lui conseille de se séparer de ce perdant. Elle finit par accepter de prendre un mojito. le soir, elle sort en boîte avec sa copine gothique et un peu dépressive Carole. Elles picolent un peu, et Émilie finit par rentrer un peu éméchée, car elle a école le lendemain. Elle retrouve Romain en train de dormir affalé sur le canapé devant la télé allumée. le lendemain elle se prépare et s'apprête à partir pimpante pour aller travailler. Romain tout juste lever lui dit qu'elle le fera toujours craquer avec ses fringues à la Mary Poppins.

Le lecteur connaît peut-être d'autres oeuvres de la scénariste ou de la dessinatrice, ce qui a pu l'attirer vers cet album, ou bien la curiosité d'un récit sur une psychothérapie, ou encore la promesse d'une histoire amusante. Effectivement, l'éditeur est Fluide Glacial, ce qui renvoie au magazine mensuel humoristique, créé en 1975 par Gotlib (Marcel Gottlieb), Alexis (Dominique Vallet) et Jacques Diament. de fait, les dessins sont descriptifs et un peu simplifiés, avec une exagération dans les regards et les expressions de visage, et de temps à autre dans le langage corporel, pour des mimiques comiques très réussies, expressives et irrésistibles. le lecteur sourit franchement en voyant Romain jeter son téléphone par terre de rage, et le piétiner comme un maniaque. La page suivante, il rigole en voyant Romain calmé dans la première case, le chat lui faire un signe dans la case suivante, et Romain lui répondre avec un signe et un grand sourire dans la suivante. Il ne fait pas que comprendre l'état d'esprit du personnage : il le ressent cette capacité de concentration qui ne dure pas plus que dix secondes, une nouvelle distraction chassant la précédente aussi vite qu'elle est venue. Par la suite, il sent le sourire revenir régulièrement : Émilie ressentant un haut-le-coeur qui l'oblige à courir vers l'évier pour vomir, son regard ahuri quand elle regarde les enfants dans sa classe, son degré d'énervement quand elle raccroche au nez de sa soeur, son regard méchant quand elle n'apprécie pas les remarques de sa psy, etc. L'artiste s'amuse avec d'autres idées visuelles, comme un détournement du célèbre tableau le cri (5 versions réalisées entre 1893 et 1917), par Edvard Munch (1863-1944).

Il s'agit donc d'un ouvrage humoristique, avec une narration visuelle drôle et vivante, usant de l'exagération avec dextérité. La scénariste s'amuse bien également à opposer les caractères : la copine solaire et exubérante, celle habillée en noir et dépressive, Michael Le collègue instituteur souriant prévenant et donneur de leçon, le chat mignon et joueur, la psychothérapeute sévère et s'adressant à Émilie comme à une enfant. Dans le même temps, les trois pages d'ouvertures ne jouent pas dans la franche moquerie ou la caricature. Émilie se rend à sa première séance, et à l'invitation de la psychothérapeute, elle déclare : Je viens d'avoir trente ans et j'ai envie de mourir tellement je n'arrive à rien dans ma vie. Elle le dit de manière sérieuse, avec gravité, sans une once de dérision. À trois reprises, le professeur des écoles Michael se lance dans une explication, un petit exposé pour développer une notion de base : 2 pages sur les différentes psychothérapies suivies par 2 pages sur la psychothérapie dans les grandes lignes, plus loin 1 page sur le concept du transfert, et plus loin encore 2 pages sur le refoulé. Ces pages font oeuvre de vulgarisation au premier degré, sans aucune ironie ni moquerie. Elles se présentent sous la forme de phrases très courtes, avec un dessin enfantin pour illustrer chacune, comme dessiné par l'instituteur. Il ne se produit pas de dissonance cognitive entre le ton humoristique et ces passages explicatifs. Il y a une continuité émotionnelle entre les deux, assurée par le personnage d'Émilie, avec ses réactions parfois un peu excessives, et son désir de trouver une solution à son mal-être.

Rapidement le lecteur se demande si la scénariste raconte son propre cheminement, son histoire personnelle avec une psychothérapie. Il n'a aucun moyen de savoir si elle a été institutrice, ou si elle a fait l'expérience d'un refoulé de même nature que celui d'Émilie. Pour autant, cela n'a pas d'incidence sur le ressenti de lecture proprement dit. le comportement d'Émilie sonne juste et honnête : un mal-être diffus sans cause apparente, si ce n'est son agacement vis-à-vis de son conjoint, et de ses propres réactions. Elle en a conscience du fait de certaines de ses réactions décalées : un sentiment de déprime irrépressible, une attitude anormale en face de sa classe, un énervement incontrôlable face à ses parents, un trouble obsessionnel compulsif. Il n'y a rien de grave ou de mortel, pas de comportement autodestructeur, pas de drame ruinant la vie de ses proches : c'est la banalité du quotidien. Dans le même temps, Émilie sent qu'elle ne veut pas continuer comme ça, qu'il faut un changement. Cette situation somme toute banale permet une projection et une identification organique pour le lecteur.

Qu'il soit étranger à la psychothérapie ou qu'il y ait eu recours, le lecteur se sent donc impliqué dans l'histoire personnelle d'Émilie Geoly, éprouvant de l'empathie pour elle et se demandant comment la psychothérapeute va s'y prendre et ce qu'elle va lui apporter. Il ne s'agit pas d'une baguette magique et il n'y a pas d'effet de guérison miraculeux. Il y a un travail d'introspection réalisé par la parole, et donc un refoulé mis à jour. le lecteur peut avoir le sentiment que les séances s'enchaînent facilement et que la progression est régulière et significative de l'une à l'autre, ce qui ne correspond pas forcément à la réalité. Cela correspond aux contraintes de narration, et l'histoire n'est pas présentée comme un reportage réaliste. En y prêtant attention, le lecteur peut voir que ce travail sur elle-même remue des choses profondes, que cela ne va pas de soi et qu'Émilie est profondément touchée par les séances, qu'il lui faut du temps pour s'en remettre. de ce point de vue, ce récit dépare des ouvrages publiés par Fluide Glacial, et s'apparente plus à un roman dramatique naturaliste, très touchant, les moments d'humour contrebalançant en fait les émotions profondes mises en branle, sans moquerie.

En fonction de sa familiarité avec les autrices, le lecteur peut supposer qu'il s'agit d'une bande dessinée de nature comique du fait qu'elle soit publiée par Fluide Glacial. de fait, il s'agit d'un récit drôle et très plaisant à lire, grâce à des caractères bien pensés, et une narration visuelle vivante avec une exagération comique bien dosée et bien maîtrisée. Dans le même temps, le fil conducteur du mal-être d'Émilie Geoly est bien présent et le lecteur ressent bien son insatisfaction, ses moments de déprime, très proches de la dépression. Les deux autrices rendent à merveille ses états émotionnels, et le lecteur se retrouve à accompagner la jeune femme, totalement acquis à sa cause, devant fournir des efforts pour ne pas se gratter le bras comme elle par mimétisme, et assez déstabilisé pour répondre aux questions de Marguerite Soulac. Une sensibilité très touchante pour une crise banale, plus profonde qu'il n'y paraît.
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Dans cette BD plus intéressante que ce à quoi je m'attendais, nous suivons le parcours d'une trentenaire assez atypique dans son look et mal dans son quotidien.
Après avoir admit qu'elle avait besoin d'aide, elle décide de suivre une psychanalyse afin de découvrir le pourquoi de son mal-être.
Cette BD est intéressante et drôle est également un brin cynique et caricaturale (nous sommes quand même chez Fluide Glacial). La narration, plaisante à suivre, est entrecoupée de planches "explicatives" sur la psychologie et la psychothérapie (par exemple les différentes disciplines, les mécanismes liés au subconscients, aux traitements etc) . Sans tout expliquer, les auteurs laissent même au lecteur le soin de faire leurs propres constatations quant à certaines attitudes d'Emilie.
Le dessin est sympa, stylisé avec ce qu'il faut de caricatural.
Une chouette lecture intéressante et instructive.
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Une BD drôle et bouleversante à la fois. Emilie, trentenaire, ne veut plus de son copain, n'arrive plus à trouver de la joie dans sa vie. Un collègue, amoureux d'elle et hypocondriaque, lui suggère d'aller voir quelqu'un. Une psy spéciale mais qui va l'aider.
Une très belle découverte.
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Visiblement, je suis tombé sur la série des suicides et des dépressions après ma lecture sur Invisible par des auteurs également féminins. C'est un sujet qui semble beaucoup inspirer en ce moment.

Avec cette Emilie Geoly, on explore toute la palette des névroses, des formes de psychothérapies, de psychanalyse, de transfert, de sentiments refoulés jusque dans l'enfance. Plus rien n'aura de secret pour le lecteur.

Bon, on aura compris qu'on ne sera pas dans un polar mais dans un huis-clos intimiste sur le mode de consultation d'un psy. le mode sera à l'humour afin de dédramatiser les situations difficiles comme la perte d'un chien ou la ruine de la pizzeria familiale.

Au contraire de ma précédente lecture, il y a une véritable reprise en main avec espérons-le une issue moins tragique. Bref, c'est un peu moins déprimant !
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Emilie Geoly, il fallait le trouver quand même. C'est chose faite ! Trentenaire avec des allures vestimentaires de Mary Poppins, Emilie se sent mal. Il faut dire que son petit copain-larve ne l'aide pas, pas plus que ses parents intrusifs ou sa soeur méga parfaite qu'on a envie de taper. Bref, elle se sent mal et sur les conseils d'un collègue, elle décide d'aller voir un psy.

Bienvenue dans le monde de la psychanalyse !

L'histoire est elle-même est assez attrayante malgré une fin qui laisse sur notre faim (Hoooo c'était beau ça non ? Non ? OK…). Qui ne s'est jamais senti mal ? Qui n'a jamais eu besoin d'aller voir un psy ? On tient là une histoire dans laquelle tout le monde pourrait se reconnaitre.

Par contre, l'image du psy est totalement négative. Ça ne donne pas envie de se faire aider mais je vous rassure, ils ne sont pas tous comme cela. Keep calm ! Il faut avouer que les séances pourraient en effrayer plus d'un. Cependant, on remarque plus loin dans la BD que ces séances vont amener Emilie à s'interroger sur sa vie, son passé familial, son enfance, ses perspectives d'avenir.

Concernant les dessins, je suis assez mitigée. J'ai bien aimé mais sans plus. J'ai surtout apprécié les dessins explicatifs sur les concepts de psychologie. C'est top, ca permet de comprendre un peu des termes parfois compliqués.

Beau moment mais rien de transcendant pour moi.
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Bande dessinée intéressante et bien documentée qui nous pousse à la remise en question. La façon dont elle dédramatise les psy est vraiment intéressante. Toutefois elle nous laisse sur une fin qui va à l'inverse d'une bd feel good, ce qui m'aurait plutôt plu vu le sujet.
Emilie fait une dépression et suit les conseils d'un collègue en poussant la porte d'un psy. Ses émotions sont parfaitement illustrées et permettront vraisemblablement à certains de mettre une image sur leurs maux.
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