Citations sur L'amour de A à Z (41)
Une fille qui avait quelque chose, une étincelle, qui s’intéressait à beaucoup de choses, qui était vivante, et voilà que nous devions nous séparer parce que je ne pouvais pas marcher avec elle.
Eh bien, j’aime la chercher, chercher la paix dans les choses. C’est pour ça que je suis musulman. C’est quelqu’un qui sait qu’il y a plus dans la vie que le fait de simplement la traverser, de laisser les choses se passer. Je donne un sens à chaque chose, je sais qu’il y a plus que seulement moi et mes soucis, que tout est lié.
Cela ne signifiait pas qu’elle était hyperactive – parce qu’elle ne l’était pas – mais qu’elle aimait faire des choses, tout le temps. Parfois des choses tranquilles, parfois des choses bruyantes, parfois fixer une colonie de fourmis des heures durant, tout en faisant semblant de noter leur activité dans un carnet « secret ».
Elle n’était pas du genre à dire au revoir à la journée, car la vie quotidienne était son amie.
Le début de quelque chose peut déterminer la beauté de tout le reste, d’accord ? Alors pas de moments seuls tous les deux ou de rapprochements excessifs, d’accord ? C’est comme ça que Jamil et moi avons fait et, al-hamdoulillah, ça a marché pour nous. Tu le sais bien.
Je l’aime bien parce qu’il est doux, gentil et attentionné, qu’il a une certaine confiance en lui, sans pour autant être imbu de sa personne, et qu’il est très attentionné. Sa petite sœur l’adore, comme ses amis de l’école internationale où il étudiait. Mais en même temps, il est toujours un peu en retrait. C’est quelque chose que j’ai remarqué. Il transpire la solitude.
Je n’aime pas ça. Ne pas savoir ce qu’il se passe. Rester en retrait. Enfin, être mise de côté.
Il existe aussi une autre forme de haine venant de ces personnes, principalement de femmes à fond dans le féminisme blanc, et qui pensent qu’elles aident les femmes musulmanes en dénonçant cette façon de s’habiller comme oppressante. Elles font comme si elles nous, entre guillemets, libéraient de nos enseignements religieux, car elles croient être devenues, entre guillemets , suffisamment intelligentes pour voir qu’ils sont oppressifs, et qu’il est de leur devoir de nous en sauver .
Comme tomber amoureuse de quelqu’un sans prendre le temps de réfléchir. Et m’enfuir des centres commerciaux dans lesquels ce quelqu’un se trouvait, parce que je voulais qu’il sache à quel point je me fichais d’Ada… je veux dire de lui.
J’étais seulement attirée par son apparence physique.
Ce physique même qui me donnait envie qu’il se précipite vers moi, depuis la porte que j’avais ouverte dans mon fantasme, et qu’il m’enveloppe de ses bras, tandis que je repoussais mes cheveux de l’espace étroit qui nous séparait, pour que mes lèvres rejoignent précipitamment les siennes, son visage ne faisant plus qu’un avec le mien, entouré et caressé par mes boucles…
Tandis que je m’habillais, j’essayais de me défaire de mes fantasmes à propos d’Adam.
J’ai envie de l’embrasser.
Cette bouche, ce sourire.
Argh, pourquoi avais-je autant de désir ?
Astaghfiroullah, m’aurait prévenue Sadia. Je savais peu de choses au sujet de ce garçon.