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Critique de Jowjee
Un récit (ultra-)court sur un morceau de vie d'un petit garçon que la vie n'a pas gâtée, mais qui prend tout avec une (presque trop) grande légèreté. Il n'a pas vraiment de famille, mais dans sa rue, il y a Monsieur Ibrahim et les putes, et bizarrement, c'est auprès qu'il va retrouver un peu de chaleur.
C'est l'histoire d'un homme qui sourit à la vie et qui décide de faire sourire un petit garçon perdu, esseulé.
Il y a des jeux de mots, une critique à bas bruit de nos certaines de nos expressions aux allures racistes, relevée par une phrase à la fin: "pourquoi pas? Je suis pas raciste."
Mais au fond, c'est un récit (selon mon ressenti) bâclé, trop enfantin, une idée d'un soir qui aurait pu faire une bien belle histoire. Je suis déçue des nouvelles de Schmitt, celle-ci n'étant pas la plus décevante... alors que ses livres m'ont bouleversée. On ne peut pas faire que des chef d'oeuvre, n'est-ce pas?
Et puis, outre ma déception, cette nouvelle était mignonne et avec de beaux messages!
C'est l'histoire d'un homme qui sourit à la vie et qui décide de faire sourire un petit garçon perdu, esseulé.
Il y a des jeux de mots, une critique à bas bruit de nos certaines de nos expressions aux allures racistes, relevée par une phrase à la fin: "pourquoi pas? Je suis pas raciste."
Mais au fond, c'est un récit (selon mon ressenti) bâclé, trop enfantin, une idée d'un soir qui aurait pu faire une bien belle histoire. Je suis déçue des nouvelles de Schmitt, celle-ci n'étant pas la plus décevante... alors que ses livres m'ont bouleversée. On ne peut pas faire que des chef d'oeuvre, n'est-ce pas?
Et puis, outre ma déception, cette nouvelle était mignonne et avec de beaux messages!
