Il est toujours difficile de critiquer un livre lu il y a belle lurette lors de nos premières années de lecture. En jeune passionné d'histoire, ce
Quentin Durward du même auteur que le grand
Ivanhoé, sir
Walter Scott, m'apparût comme une nouvelle aventure romantico-médiévale cherchant à sublimer l'héritage du Moyen Âge (ce qui est somme toute assez rare déjà quand on voit comment est "valorisé" ces temps dits "moyens") dans l'histoire du Royaume-Uni. C'est exactement cela ici aussi, comme dans
Ivanhoé. Un jeune Ecossais sans le sou se fait sa place à la cour de Bourgogne et au coeur des intrigues politiques et matrimoniales du XVe siècle français.
De l'aventure chevaleresque, de l'amour contrarié, du complot politique :
Quentin Durward me laisse en mémoire les principaux ingrédients voulus marquants par son auteur. N'est-ce pas là un gage d'efficacité après tant d'années sans plus s'intéresser à cette histoire ?
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