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Critique de Villebard


Quel festival d'intelligence, de pertinence et de clarté… et de courage pour avoir lu et étudié toute la production des escrocs, bouffons, crapules, imposteurs… de l'intelligentsia de gauche américaine et européenne. L'auteur dispose d'une abyssale connaissance de la philosophie ancienne et moderne, des événements politiques de la deuxième moitié du siècle passé. Epoustouflant. Restons avec les Français. le livre commence après la deuxième guerre mondiale, avec le “maîtreˮ, Sartre qui comme auteur “engagéˮ a passé la guerre à la terrasse des “Deux magotsˮ, bel endroit pour faire la morale ! Il a vanté le communisme comme son copain Merleau-Ponty a justifié le Goulag. Brasillach avait choisi le nazisme et a été fusillé, combien de salauds ont choisi le communisme et s'en sont servi pour leur carrière universitaire, bonne pioche. Un petit tour avec Lacan, le chef des escrocs s'enrichissant sur les malheurs de ses patients, certains crétins complices parmi eux. Et les bouffons, Deleuze, Guattari et autres producteurs de l'usine à non-sens. Terminons avec la dernière crapule en vie, Badiou, qui enrobe le rien de son discours par de la mathématique à laquelle de toute évidence il ne comprend rien, cela donne un vernis de sérieux à ses divagations, les benêts en raffolent. Une question demeure comment cette clique a pu pendant des décennies occuper le devant de la scène, profiter des deniers du contribuable, abuser tant de gens ? Une nouvelle religion qui a trouvé ses croyants ? Cela continue avec les nouvelles modes universitaires : théorie du genre, islamo-gauchisme…
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