Tokyo Mystery Café, tome 1 : La disparue d'Akiba

Club N°56 : BD non sélectionnée mais achetée sur le budget classique
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La bonne surprise de ce début de sélection : un grand format pour un graphisme et une colorisation qui servent très bien le récit, très fluide !

On commence avec les banalités d'usage sur le Japon et puis... la fin pose une question quasi-philosophique... je ne m'y attendais pas, je recommande. ^^

Benoit
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Des poncifs, une entrée en la matière si classique et puis on a la sensation de se sentir malmené par les différents retournements de situation qui nous amène à une question si actuelle sur la création...

Vincent
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Un polar bien agréable et plutôt original au final, mais il m'aura fallu 30 pages pour commencer à m'y intéresser.

Dommage.

JF
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Heureusement qu'il y a la fin !

Les ingrédients sont là pour une enquête efficace, le dessin est plutôt agréable mais tout est tellement détaillé et convenu qu'il n'y a -presque-plus aucune surprise.

Marine
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Lien : https://mediatheque.lannion...

Nahel vient tout juste d'arriver au Japon. Il veut devenir mangaka et cherche un éditeur et un mentor. Il trouve un logement dans un immeuble dont le vieux propriétaire est très gentil. Cependant, à peine arrivé il entend des bruits étranges la nuit et il découvre que son propriétaire cache sa petite-fille. Lorsque son propriétaire est agressé, celui-ci lui demande de protéger sa petite-fille. C'est alors que le mystery café va lui venir en aide, pour retrouver la petite-fille de son propriétaire.
C'est un manga sympa à lire.
J'ai aimé les dessins, ils sont très colorés et sont inspirés du style manga tout en conservant le côté bande dessinée. C'est un mélange intéressant.
J'ai trouvé que l'histoire allait trop vite, j'aurais aimé plus de détails et d'action.
Les liens n'ont pas le temps de se construire entre les personnages qu'ils sont déjà très liés. L'enquête est néanmoins sympa à suivre.
Cette bande dessinée est clairement destinée à un jeune public.

J'ai toujours entendu du bien de Atelier Sento, mais je n'ai lu aucun travaux des auteurs.
La couverture et les pages de ce Tokyo Mystery Café sont attrayantes pour pour se laisser tenter.
Mais je reste malgré tout sur ma faim malheureusement. le tout commence très bien, personnage bien introduit, intrigue haletante avec un rythme adéquate.
Et le tout se déroule très bien, de manière assez classique dans le rythme des péripéties et des révélations, mais le tout est maitrisé. Mais la fin semble baclée, trop rapide et manque cruellement de profondeur.
J'irai sur le second tome, mais je regrette 5-10 pages supplémentaires sur ce premier tome pour faire basculer cette lecture comme aboutie.

Atelier Sentô auto édite ses BDs depuis un petit moment, et c'est avec plaisir que j'ai découvert leur nouvel BD chez un éditeur de BD important, Dupuis.
Nous suivons Maël, un jeune français venu au Japon pour essayer de démarrer une carrière de mangaka. Manque de pot, il va se retrouver impliquer dans une affaire plus que rocambolesque, avec des personnages tous plus atypiques les uns que les autres...
Alors, commençons par le gros point fort de la BD : son dessin. Il est vraiment magnifique, il retranscrit très bien ce Japon urbain pleins de petits coins atypiques. Les personnages sont très bien identifiables, expressifs et la couleur est très bien géré. Non, vraiment, rien à dire de ce côté-là.
En revanche l'histoire... Si on passe un bon moment en la lisant, on ne va pas se mentir, certains rebondissements nous font lever un sourcil. Qu'est-ce que c'est que cette histoire de chanteuse et de robot pour la remplacer ? ça n'a aucun sens aujourd'hui, surtout avec tous les problèmes soulevés par les IAs. S'il voulait vraiment la remplacer, il ferait un petit programme, et pouf, bien plus simple. Et bon, ramener des "pseudos yakuzas" pour gérer l'affaire, ainsi que des gamins supers forts en informatique... C'est vraiment du scénario de série B. Alors c'est fun, mais clairement, on est pas face à une BD qui va nous marquer sur le long terme. Et c'est dommage qu'Atelier Sentô n'est pas profité d'être édité chez Dupuis pour marquer les esprits. Un peu déçue pour ma part.