Ce qu'elle venait de dire au sujet d'Ali ne la choquait pas vraiment. C'était peut-être effrayant, mais c'était aussi la vérité.
Très bien. Elle se rabattrait donc sur le plan J comme "Jalousie".
Hanna sentit son estomac faire un bond. Elle devait avoir l'air complètement cinglée, en train de brandir un presse-papier. Sa mère la fixa longuement, sans même se donner la peine de baisser sa jupe ou de repousser Wilden.
C'est pour toi que je fais ça, disaient ses yeux.
Je n'ai jamais lue le roment Les Menteuses mais j'en est enttendue parlé d'après les commentaire de cette série c'est très bien mais il y a des chengements radical avec la série TV Pretty Little Liars ( Que j'ai vue et que j'ai adorée !! ).
Alors j'ai très envie de faire mes propre critiques...
J'espère que je vais aimer !!
Avant qu'elle puisse ouvrir la bouche, le téléphone d'Aria se mit à sonner.
- Excusez moi une minute, murmura la jeune fille en fouillant dans son sac à la recherche de son Treo. Ça doit encore être ma mère.
Puis le Sidekick de Spencer se mit à vibrer. Et à carillonner. Et à chanter. Il ne s'agissait pas seulement de son portable, ceux d'Hanna et d'Emily se manifestaient tout aussi bruyamment. Les autres membres de la procession jetèrent des regards réprobateurs aux quatre filles. Aria approcha son Treo de sa figure pour mieux voir le bouton qui lui permettrait de couper la sonnerie. Emily se débattit avec son Nokia. Spencer arracha son Sidekick de la poche extérieure de son sac.
- J'ai un nouveau message ! s'exclama Hanna en regardant son BlackBerry.
— Moi aussi, chuchota Aria.
- Pareil, renchérit Emily.
Spencer se contenta de hocher la tête.
Chacune des quatre filles appuya sur la touche « lecture ».
Il y eut un moment de silence hébété.
- Oh, mon Dieu! souffla enfin Aria.
- Ça vient de..., couina Hanna.
- Vous croyez que ça fait allusion à...?, commença Emily.
Spencer déglutit avec difficulté. En chœur, les filles lurent leurs textos à voix haute.
Le but était de mettre les gens en valeur, de les rendre fiers de leurs accomplissements - mais dans la famille Hastings, ça ne faisait qu'exacerber l'esprit de compétition.