Shakespeare,
Homère, une peuplade humaine futuriste, quelques contemporains, des aliens et de la nanotechnologies. Mélangés au sein d'une même fresque.
Bizarrement il n'en émerge pas un gloubiboulga infâme mais une oeuvre d'imagination majeure, habile, homogène et extrêmement divertissante. Qui se dévore d'une traite.
C'est assez effrayant de voir qu'un auteur peut se renouveler aussi brillamment et dans un domaine quasi similaire après avoir accouché d'Hypérion.
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