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Critique de Marcelline
Eh bien, je ne vais pas bouder mon plaisir: j'ai beaucoup aimé!
Bien sûr, il ne s'agit pas de grande littérature, de celle qui fait réfléchir ou soulève les débats, mais plutôt de celle qui fait vibrer et ressentir les émotions: ici, c'est l'amour, la peur, la jalousie, la générosité...
D'abord, c'est une belle histoire d'amour, entre Tatiana et Alexandre, qui fait rêver. Dès la première page, une fois l'écriture, que j'ai quand même trouvée un peu naïve, assimilée, je me suis attachée aux personnages, pour ne plus avoir envie de les lâcher avant la dernière page...
Et puis, je trouve que l'on ne ressort pas complètement idiot, si ce n'est cultivé, de ce livre: je ne suis pas prête d'oublier le siège de Léningrad! L'auteur évoque avec force la faim, le froid et la peur qui se sont emparés des habitants de cette ville lors de son blocus par les Allemands. Elle nous fait ressentir la faim au-delà de la faim, et le froid qui emmène à la mort...
Finalement, je n'ai que la dernière page à déplorer: après celle-ci, je ne vois pas comment je pourrais m'abstenir de lire les 2 tomes suivants! Bravo Madame Simons!
Bien sûr, il ne s'agit pas de grande littérature, de celle qui fait réfléchir ou soulève les débats, mais plutôt de celle qui fait vibrer et ressentir les émotions: ici, c'est l'amour, la peur, la jalousie, la générosité...
D'abord, c'est une belle histoire d'amour, entre Tatiana et Alexandre, qui fait rêver. Dès la première page, une fois l'écriture, que j'ai quand même trouvée un peu naïve, assimilée, je me suis attachée aux personnages, pour ne plus avoir envie de les lâcher avant la dernière page...
Et puis, je trouve que l'on ne ressort pas complètement idiot, si ce n'est cultivé, de ce livre: je ne suis pas prête d'oublier le siège de Léningrad! L'auteur évoque avec force la faim, le froid et la peur qui se sont emparés des habitants de cette ville lors de son blocus par les Allemands. Elle nous fait ressentir la faim au-delà de la faim, et le froid qui emmène à la mort...
Finalement, je n'ai que la dernière page à déplorer: après celle-ci, je ne vois pas comment je pourrais m'abstenir de lire les 2 tomes suivants! Bravo Madame Simons!
