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Critique de Tsukihime


Et voilà, j'ai récidivé. Plutôt que de prendre mon temps, j'ai dévoré ce 8ème tome en une seule journée, avide de tout savoir de l'affaire entre Max et Sophia.

Si le couple ne m'a pas totalement convaincu, la faute à une Psi bien moins métallique que ses autre pairs, il faut dire que l'intrigue policière et politique m'a ravie.
Ce petit séjour dans les papier de Nikita Duncan nous pousse à remettre en question tout ce que l'on croit savoir sur la Conseillère, ainsi que sur Kaleb par extension. Vraiment, le fil rouge s'épaissit, se sépare et s'entrecroise, de quoi ravir mon esprit adepte de grande histoire longue. Il est clair que l'histoire d'amour, pourtant au coeur de ce tome n'était pas aussi bien et peut déplaire à certains, mais qu'importe. Les situations s'enchaînent, on voit un peu ce qui se passe chez les DarkRiver, on retrouve nos petits personnages chéris et en plus, on continue d'explorer le monde imaginé par Nalini Singh ! Alors pourquoi se plaindre ?

La plume de l'auteur fais toujours mouche chez moi et je ne demande qu'une seule chose, savoir comment toute cette histoire va évoluer.
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