Bonne surprise pour ce roman. du romanesque, il y en a, en effet : landes et manoir anglais, jeune fille esseulée et bel héritier, malheurs et amours, drames et résilience . Certaines critiques dénoncent un roman à l'eau de rose convenu et éculé ; je ne suis pas tout à fait d'accord : l'écriture est poétique et les personnages pas si manichéens que cela. Entre deux lectures plus exigeantes, la destinée de l'héroïne du Manoir Tyneford m'a tenue en haleine.
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Plutôt bien écrite , cette histoire nous captive dès le début , et la fin est très émouvante ..
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Bon roman bien écrit et bien traduit. Un peu trop sentimental à mon goût.
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D'un côté, nous avons la famille juive plus ou moins intégrée à la bonne société viennoise, le père écrivain, la mère chanteuse d'opéra, et de l'autre côté, nous avons un père et un fils portant le même prénom et le même nom, derniers représentants d'une vieille famille de la noblesse de campagne anglaise désargentée mais ancrée dans ses traditions.
À priori, rien ne destinait ces deux mondes à se rencontrer mais l'histoire en décidera autrement. En effet, en ce printemps 1938, les juifs d'Autriche commencent à sentir le vent tourner et les parents d'Elise - pour la protéger - décident de l'envoyer en Angleterre occuper une place de femme de chambre au manoir de Tyneford, juste le temps de leur permettre d'obtenir les visas qui leur permettront ensuite à tous de se retrouver à New-York.
Ce roman raconte l'histoire de cette jeune fille qui doit tout quitter - sa famille, son pays, son confort, son rang - et apprendre à devenir complètement quelqu'un d'autre. Cet apprentissage, on s'en doute, se fera dans la douleur car on perd pas si aisément son identité et devenir une autre ne se décide pas en un claquement de doigt.
A Tyneford, deux monde co-existent au prix d'un équilibre centenaire où chacun connait sa place et son rôle : les maîtres et les domestiques, tous réunis sous un même toit mais dont les interactions se limitent à un protocole bien établi. N'appartenant à aucun de ces deux mondes, Elise se retrouve complètement seule mais cette situation ne durera pas car la guerre va bien vite chambouler les habitudes de chacun et le “vieux monde” est condamné à disparaître tôt ou tard (et l'amour s'en mêlera aussi bien évidemment).
Bon, hé ho ! je ne vais pas vous raconter toute l'histoire quand même ! Pour en savoir plus, lisez le livre ! Il se lit aussi facilement qu'on avale sa tasse de Earl Grey à 17 heures, dans sa fine tasse en porcelaine et accompagné (bien entendu) de quelques scones et de petits sandwichs au concombre. Ce livre s'adresse donc aux “british-lovers” qui ne craignent pas de laisser ressortir, de temps en temps, leur petit côté fleur bleue. God save the Queen donc ! Bref, j'ai dégusté avec beaucoup de plaisir cette lecture qui est vraiment délicieusement romantique (comme l'indique la critique du Times en quatrième de couverture). PS : Si vous avez aimé Dowtown Abbey et Les vestiges du jour, n'hésitez pas !
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De ce roman, on a envie de connaître la côte du Dorset, enchanteur.
Mais des personnages et de l'histoire, on reste sur sa faim ....
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Un livre qui raconte l'histoire d'une jeune fille expatriée en Angleterre en temps de guerre. La rencontre d'un homme et une belle histoire d'amour qui finit bien
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