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4,07

sur 1103 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Lecture abandonnée après 100 pages d'ennui, à la lecture desquelles je me suis demandée, une fois n'est pas coutume, ce qui avait bien pu provoquer l'enthousiasme de François Busnel et de tant d'autres…

Décidément, la rencontre entre un livre et son lecteur est une mystérieuse alchimie, dont il est difficile de savoir pour quelles raisons elle se crée ou non.

C'est toujours frustrant pour moi d'abandonner une lecture (je le fais très rarement) mais mon temps libre se fait si rare que je ne souhaite pas le « gaspiller » à me contraindre à lire des ouvrages qui ne m' « embarquent » pas (singulièrement lorsqu'ils sont épais de 600 pages, comme c'est le cas en l'espèce)…

A tord ou à raison, j'ai récemment décidé de laisser l'obstination à des temps futurs lointains aux vents plus favorables qui m'offriront, qui sait, la possibilité de faire cet effort intellectuel (nécessaire?) de pousser l'exercice jusqu'à son terme avant d'oser jauger une oeuvre.

Quoiqu'il en soit, ce ne sera pas pour cette fois-ci.
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Que c'est long !
Un bon début de roman, comme cela a été dit dans une critique, avec un personnage narrateur comme un amnésique évoquant des morts, des morts qui se sont aimés et qu'aiment encore certains des vivants présents sur cette île aussi magnifique que mystérieuse.

Mais les deux ou trois intrigues qui se mêlent mettent énormément de temps à aboutir du fait de répétitions qui n'apportent strictement rien, des redondances à n'en plus finir dans l'appellation des personnages, dans les gestes qu'ils accomplissent, ont accomplis, accompliront, qui sont repris non pas deux fois mais six, sept, huit fois...
Et cela n'en fait pas de la poésie !
Il y a une réelle beauté du paysage et deux ou trois personnages dont les premières apparitions sont intrigantes ou attachantes mais leurs actions, leurs pensées, leur évolution (malgré le vernis d'originalité de quelques gestes) n'ont strictement aucun intérêt car sont, sous ce vernis, d'une affligeante banalité.
Quelques jolies formules allègent l'ensemble et donnent une idée de ce qu'aurait pu être le livre s'il avait fait 150 ou 200 pages.
Un concert d'Eirikur façon Festin de Babette, au lieu de cette logorrhée qui n'a vraiment rien, au fond, à raconter.
Et le fait de changer ici ou là le cours du récit, un personnage meurt, et puis finalement non, cela n'en fait pas une réflexion sur la littérature car c'est une fois en passant alors que le reste est figé dans un déroulement coincé entre poncifs et clichés.

J'ai terminé le pudding en lisant une phrase sur cinq, puis une phrase sur dix et j'ai remarqué que cela ne changeait pas grand-chose, puisqu'on n'arrivait nulle part, comme je m'y attendais.

Bien dommage !

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J'ai dû abandonner, je n'ai pas aimé la construction du livre et comme dit si bien une personne, plus envie de me forcer dans des lectures qui ne m'apportent rien. C'est d'une banalité fatigante et les critiques exaltées m'ont étonné. Peut être que j'ai raté quelque chose, je ne le saurai jamais
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Bon ben, je ne peux pas. Apres 142 pages lues péniblement, je n'arrive pas à m'intéresser à ce bouquin qui a pourtant été considéré comme le Meilleur roman étranger. Après un début très prometteur, la non intrigue s'enlise dans une succession de personnages sans intérêt ou d'ébauches d'intrigues qui traînent en longueurs, en répétitions et en invraisemblances. Qui peut croire en effet qu'une pauvre paysane illettrée du fin fond de l'Islande soit abonnée à des revues scientifiques quand la perspective d'un manque de fourrage lui fait passer des nuits blanches ? le style est pompeux, romantico-poético-commercial et les épigraphes de débuts de chapitres sont ridicules ("la nature est à la salle de sport"). C'est une grosse déception d'autant que c'est une amie chère qui me l'a offert.
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Je n'ai pas du tout accroché à ce roman. Je me suis très vite perdue dans les personnages ainsi que dans l'histoire et, chose rare, je n'ai pas réussi à dépasser la moitié de sa lecture. Je souhaite toujours "laisser une chance au livre" et aller jusqu'à la fin, mais dans ce cas-ci, c'était trop d'effort...
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"Ton absence d'intérêt n'est que ténèbres".

Voilà un titre qui semblerait mieux correspondre à mon ressenti suite à la lecture laborieuse des 170 premières pages sur les 582 proposées.

Dès le début, j'ai eu l'impression d'être comme une auto-stoppeuse plantée sur le bord de la route, à attendre l'arrivée d'une bonne âme charitable, si possible dotée d'un véhicule confortable. Mais les heures passant, ou plus exactement les pages, rien... Ni berline, ni tracteur, ni charrue... de la tourbe islandaise à perte de vue, quelques brebis égarées au loin, mais décidément rien de très palpitant.

Il faut dire aussi que bien vite, j'ai été complètement perdue avec tous ces personnages qui pour moi sortaient de nulle part. Un coup dans le passé, un autre dans le présent, retour vers le passé et à nouveau dans le présent et me voilà égarée dans un espace temps, mais lequel ? le "pa-présent" ou le "pré-passé" ?
Puis surgissent de sinueux virages : un coup de volant à droite chez les habitants de la ferme du bout du chemin, un coup de volant à gauche chez la soeur de la cousine de Mme Michu... Bref, j'ai commencé à avoir le mal des transports ! Et afin de m'éviter d'autres désagréments (n'étant pas masochiste), j'ai décidé d'interrompre ma lecture en cours de route.

Alors, ce roman : bien ou pas bien ? Je serais bien en peine de répondre à cette question ! Simplement, il n'est pas dans mes goûts. Je n'ai pas pu ou su "rentrer" dedans, avec un style d'écriture qui ne me touche absolument pas. Ce n'est point grave... alors au suivant !

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Ce roman portant "prix du livre étranger 2022" ne m'a pas accroché du tout.

Cet amnésique écoutant les récits de différentes personnes l'ayant probablement connu et espérant ainsi retrouver ses souvenir me paraissait un excellent point de départ pour un roman. Hélas, tout à fait personnellement, j'ai trouvé ça très confus, je ne m'y retrouve pas dans ce fouillis ( excusez-moi je n'ai pas trouvé d'autre mot).
J'ai donc abandonné ma lecture ce que je fais très rarement

Je suis passé à côté mais d'autres auront certainement apprécié.
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Dès les premières pages, j'ai compris que ce livre n'était pas pour moi. Un peu comme quand on essaye une veste dans une boutique de mode, et qu'à peine enfilée on se dit : "non ça ne me va pas". Combien de pages vais-je tenir? Il faut que j'aille au moins aussi loin que chuutjelis40 qui a abandonné après 100 pages!
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La narration est fouillis. Les dialogues intégrés au texte, difficiles à suivre. A moins que ce ne soient des pensées? Les allers-retours temporels sont mal signalés. Il y a trop de mots. Trop de phrases qui n'apportent rien. Trop de répétitions. Trop de digressions. On perd le fil de l'histoire. Il faut s'accrocher. Mais pourquoi continuer? Pour suivre la quête existentielle du héros. Pour rencontrer des personnages variés, le temps de quelques pages. Et pour analyser des réflexions d'une philosophie de bazar comme : "Ce qui disparait de votre vue semble ne plus exister", ou : "Lui, qui a jadis été si jeune", ou bien encore : "Le destin est vieux comme le monde". Est-ce poétique? Pas franchement. Est-ce émouvant? Non, pas du tout. Par contre c'est un peu fou. Les morts parlent et sont "conviés à la fête". Quant au lombric, "il reflète la pensée divine". L'homme qui n'a plus de mémoire conduit une Volvo qui est peut-être la sienne. Comment peut-il conduire? Pourquoi n'a-t-il pas demandé de l'aide? (1) Je suis trop rationnel.
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Pourquoi ai-je acheté ce livre? Parce que je n'avais rien lu de cet auteur et que je souhaitais le découvrir. Au moins j'ai appris qu'il existe des lecteurs qui adorent ce roman. Il en faut pour tous les goûts me dis-je. Bon, comme j'ai beaucoup d'autres romans qui m'attendent, j'arrête la lecture à la page 102. Jón Kalman Stefansson (auteur islandais, multirécompensé) rejoint ainsi Jón Fosse (auteur norvégien, prix Nobel) tout en bas de mon classement des auteurs scandinaves (plus de 150 auteurs scandinaves lus à ce jour).
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(1) Je comprends en lisant une critique qu'il s'agit d'un rêve. Mais alors un rêve long et ennuyeux!

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J'ai abandonnée, ça doit être que le second livre où je me retrouve à faire ça.

C'est long, ça me parait pompeux à vouloir être poétique ou autre.

J'ai résisté mais lire ne doit pas être une corvée et là ça l'été.

Les chapitres sont lent et longs.

Ce n'est pas pour moi.
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Pour ceux qui comme moi, ont lu ce livre jusqu'au bout pour comprendre qui est cet amnésique qui est arrivé dans un coin perdu d'Islande où on le connait , eh bien ce n'est pas la peine , on n'en saura rien. Je vous jure, si j'avais su, je ne me serais pas accrochée à ce roman. C'est à cause de ma maudite curiosité, je voulais comprendre qui est le "narrateur" amnésique ... Lui, d'ailleurs ne semble pas se soucier de qui il a été avant . Sans doute que quelque chose m'a échappé..; En tout cas , ce récit, je l'ai trouvé confus, embrouillé, et j'ai eu l'impression de ne pas être assez intelligente pour comprendre( et ça,, ça ne fait jamais plaisir...). Alors on parle d'histoires d'amour obstinées, de musique, d'alcool, de moutons et de la dure vie à la campagne, et c'est pas drôle...
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