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Critique de carnet-de-voyage


La beauté intérieure d'un homme ou d'une femme n'est pas celle que l'on remarque aux premiers abords, reconnaissons-le....

Selon "Philippe Geluck", c'est surtout pour l'homme invisible qu'elle compte en premier...

Mais parfois, les aléas de la vie, font en sorte que nous nous dévoilons plus que nous le voudrions....

Et ce n'est pas toujours à notre avantage, mais parfois nous pouvons en sortir grandi..

Une pluie diluvienne tombe sur coin de la Californie, et les quelques voyageurs doivent emprunter un autocar pour se rendre en ville, mais doivent passer la nuit dans une station-service que seuls les Etats-Unis des années 50 savent faire...
Après une nuit de réparation, un breakfast où déjà les sentiments et les ressentiments se dévoilent, ils reprennent la route...

Chacun dans l'autocar semble n'avoir rien à faire que ce faire des idées et des opinions toutes faites sur tel ou telle personne assise devant derrière, a côte etc...
Et puis l'autocar tombe de nouveau en panne....

Et là, c'est l'apothéose...

Il est vrai, et je rejoins la critique de andman, que "Les naufragés de l'autocar" baigne dans cette atmosphère d'un tableau de "Edward Hopper"...

La beauté de la mélancolie...
Une nostalgie inspiratrice, créatrice, mais toujours esseulée...
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