Je continue tranquillement ma découverte de l'oeuvre de Steinbeck.
Avec
Tortilla Flat, c'est une plongée en Californie, sous le soleil de Monterey à laquelle nous convie l'auteur.
C'est avec beaucoup de tendresse que Steinbeck nous fait suivre une tranche de vie de certains paisanos. Qu'est ce donc que ces paisanos ? me demanderez vous . Steinbeck les décrit comme " un mélange de sang espagnol, indien, mexicain, avec des assortiments caucasiens. Des autochtones quoi ...
Danny, qui va être le personnage central de l'histoire, va hériter fortuitement de deux maisons. Pour quelqu'un qui n'a jamais pu accéder au titre de propriétaire, cela augure beaucoup de bouleversements dans sa vie.
Dany étant par nature un homme ayant le sens du partage, va inviter ses amis à profiter de ses maisons.
C'est cette bande d'amis que nous allons suivre au rythme des journées paisibles de cette région.
Cette bande d'amis qui vit au jour le jour n' pas été sans me rappeler la bande de joyeux lurons de la
Rue de la Sardine.
La lecture fut plus que sympathique, je n'ai pas pu m'empêcher de sourire à l'évocation de certaines histoires.
Bon, bientôt, je vais m'attaquer à un morceau autrement plus sérieux avec
les raisins de la colère...
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