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Critique de LoupAlunettes
Une carte, une boussole.
La 1ère de couverture et l'habillage pouvaient laisser supposer un récit d'aventure et de plus dans le monde entier.
Noys voyagerons en effet mais dans le temps.
Le sujet est forcément inépuisable pour les auteurs dès lors que l'on se penche sur le passé, proche ou plus lointain dans les mémoires.
Il y a sur la couverture une montre et des photos en noir et blanc également. Cela aura son importance.
Nous suivrons le périple d'enfants sans parents.
Ni Potter, ni Baudelaire, ni Belacqua, ces orphelins-ci se nomment étrangement la famille "P".
( avez-vous trouvé d'où sont tirés les autres orphelins cités?)
Ne les considérez jamais comme cela, cette fratrie, ne prononcez jamais le mot "orphelin", car vous pourriez vous faire souffler, houspiller sévèrement.
Kate, Michaël et Emma en sont persuadés, leurs parents sont vivants et les ont bel et bien laissé derrière eux sous la contrainte.
Quel rapport y aura t-il entre leur nouvelle adoption et ce fait précis?
L'auteur John Stephens bousculera une routine apparente, nous faisant basculer d'un coup dans un autre décor, vers le vrai genre attendu du roman: le fantastique.
Qu'est ce que l'Atlas d'émeraude?
Beaucoup de questions se multiplieront.
Comment la magie peut-elle intervenir?
Qui est le docteur qui les adopte et pourquoi détient-il un livre magique qui vous fait revenir dans le temps par le biais de photographies.
La technique du passage devrait séduire les lecteurs et ferrer leur curiosité.
Ce qui attend la famille "P" ailleurs, dans le passé de ce nouveau lieu est déplaisant. Il vont s'y trouver parachutés par le bien du livre du Docteur.
Le passé n'est pas rassurant.
Où sont passés tous les enfants de leur coin perdu?
Qui est la jeune adolescente qui s'offre de vieux "selfie" noir et blanc sur la moitié des photos qu'ils ont aussi trouvé?
La réponse sera cruelle.
La 1ère de couverture ne nous aura pas préparé à cela.
Tellement d'interrogations et pourtant cela n'empêche pas d'avancer, bien au contraire.
Patience.
Les raccourcis adoptés par l'auteur finiront par trouver leur raison d'être et nous ne lâcherons rien.
Si il y a un grand point majeur, c'est celui-là: l'intrigue est suffisamment bien menée pour ne jamais nous dévoiler le vrai propos dans les 3/4 du roman. L'auteur nous tient.
Et progressivement, nous en serons plus sur trois livres dispersés qui rassemblent le savoir magique du lieu, une trilogie à l'identique de l'offre faite par John Stephens.
Il y a tout à découvrir et les fans de héros tels que " Harry Potter" devraient se régaler.
La 1ère de couverture et l'habillage pouvaient laisser supposer un récit d'aventure et de plus dans le monde entier.
Noys voyagerons en effet mais dans le temps.
Le sujet est forcément inépuisable pour les auteurs dès lors que l'on se penche sur le passé, proche ou plus lointain dans les mémoires.
Il y a sur la couverture une montre et des photos en noir et blanc également. Cela aura son importance.
Nous suivrons le périple d'enfants sans parents.
Ni Potter, ni Baudelaire, ni Belacqua, ces orphelins-ci se nomment étrangement la famille "P".
( avez-vous trouvé d'où sont tirés les autres orphelins cités?)
Ne les considérez jamais comme cela, cette fratrie, ne prononcez jamais le mot "orphelin", car vous pourriez vous faire souffler, houspiller sévèrement.
Kate, Michaël et Emma en sont persuadés, leurs parents sont vivants et les ont bel et bien laissé derrière eux sous la contrainte.
Quel rapport y aura t-il entre leur nouvelle adoption et ce fait précis?
L'auteur John Stephens bousculera une routine apparente, nous faisant basculer d'un coup dans un autre décor, vers le vrai genre attendu du roman: le fantastique.
Qu'est ce que l'Atlas d'émeraude?
Beaucoup de questions se multiplieront.
Comment la magie peut-elle intervenir?
Qui est le docteur qui les adopte et pourquoi détient-il un livre magique qui vous fait revenir dans le temps par le biais de photographies.
La technique du passage devrait séduire les lecteurs et ferrer leur curiosité.
Ce qui attend la famille "P" ailleurs, dans le passé de ce nouveau lieu est déplaisant. Il vont s'y trouver parachutés par le bien du livre du Docteur.
Le passé n'est pas rassurant.
Où sont passés tous les enfants de leur coin perdu?
Qui est la jeune adolescente qui s'offre de vieux "selfie" noir et blanc sur la moitié des photos qu'ils ont aussi trouvé?
La réponse sera cruelle.
La 1ère de couverture ne nous aura pas préparé à cela.
Tellement d'interrogations et pourtant cela n'empêche pas d'avancer, bien au contraire.
Patience.
Les raccourcis adoptés par l'auteur finiront par trouver leur raison d'être et nous ne lâcherons rien.
Si il y a un grand point majeur, c'est celui-là: l'intrigue est suffisamment bien menée pour ne jamais nous dévoiler le vrai propos dans les 3/4 du roman. L'auteur nous tient.
Et progressivement, nous en serons plus sur trois livres dispersés qui rassemblent le savoir magique du lieu, une trilogie à l'identique de l'offre faite par John Stephens.
Il y a tout à découvrir et les fans de héros tels que " Harry Potter" devraient se régaler.
