Je suis entré en guerre... comme la plupart de mes compatriotes... la fleur au fusil !
On pensait qu'elle ne durerait pas cette foutue guerre... plus de trois ans déjà ! Les fusils sont toujours là ! Mais il n'y a plus de fleurs ! Juste des hommes en sursis, de la boue et du sang.
Même en temps de guerre, un salaud reste un salaud !
Le retour au bercail... les retrouvailles heureuses... et pleines de non-dits. Paris reprenait ses allures de carte postale. J'avais cette sensation très confuse où l'on ne sait plus si c'est le monde qui a changé... ou nous-même ?! On est juste seul.
Kerzadec m’a sauvé la vie à plusieurs reprises au péril de la sienne… Très rapidement, il s’est fait remarquer pour des faits d’armes d’une très grande audace. Il faisait corps avec la boue ! Jour après jour, il apprenait… se perfectionnait… Comme mué par une forme d’intelligence intuitive ! Mes compagnons d’infortune étaient partagés… Entre respect et dégoût ! Car même en temps de guerre, un salaud reste un salaud !
Ce ne sont pas des soldats : ce sont des hommes. Ce ne sont pas des aventuriers, des guerriers, faits pour la boucherie humaine […] Ce sont des laboureurs et des ouvriers qu’on reconnaît dans leurs uniformes. Ce sont des civils déracinés.
Kerzadec m'a sauvé la vie à plusieurs reprises au péril de la sienne... Très rapidement, il s’est fait remarquer pour des faits d’armes d’une très grande audace. Il faisait corps avec la boue ! Jour après jour, il apprenait… se perfectionnait… Comme mué par une forme d’intelligence intuitive ! Mes compagnons d’infortune étaient partagés… Entre respect et dégoût ! Car même en temps de guerre, un salaud reste un salaud !
le contrat était simple : La guerre contre notre liberté !
J'ai toujours voulu voler.
Depuis l'enfance.