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Critiques filtrées sur 5 étoiles  
On plonge dans ce 4ème tome en adoptant le point de vue d'une nouvelle légion : la Death Guard. Et le décor est vite planté avec son Primarque, Mortarion, et ses guerriers à l'armure vert pâle et blanc... On découvre aussi les Soeurs du silence et on suit tous ce beau monde dans une bataille contre des xenos, évidemment, l'ambiance de Warhammer 40k est toujours là ! Pendant un longue première partie, on découvre les particularités de cette légion qui porte bien son nom (Et les soeurs du silence aussi d'ailleurs), et le capitaine Garro dont on avait laissé l'histoire en suspens à la fin du tome 3. Donc cette première partie reprend la chronologie des événements du tome 3 du point de vue de la Death Guard mais c'est plutôt bien géré et ne s'ennuie pas une seconde.

Dans une seconde partie on reprend directement la suite de « La Galaxie en flammes » et la fuite de Garro dans le vaisseau l'Eisenstein. Et on plonge dans une toute autre ambiance, un huis-clos dans un vaisseau spatiale où Garro et ses hommes sont confrontés à des choix moraux puis à des créatures à l'aspect putride tout droit sorti du Warp.
Cette deuxième partie est passionnante à suivre, l'ambiance y est très bien retranscrite (plein de bonnes idées sur le traitement des corps possédés par les bons soins de papy Nurgle) et des combats plus que prenants ! Jusqu'à un final surprenant et quelque peu frustrant (j'ai cru jusqu'à un certain moment voir l'Empereur... et bah non) avec l'apparition furtive des Imperial Fist et de leur primarque, Rogal Dorn, impressionnants.

En résumé, j'ai beaucoup aimé ce tome, ça m'a permis de replonger dans cet univers en grande pompe et ça fait du bien de retrouver cette ambiance parfois ponctuée d'humour, souvent sombre et guerrière !
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Toujours guidée par mon cher et tendre qui connaît l'univers de Warhammer 40K comme sa poche, je me suis plongée dans le quatrième tome de la série L'Hérésie d'Horus. La Galaxie en flammes avait été un maelström terrible d'émotions. Sans surprise, les pages de sa suite directe se tournent tout aussi vite.

On reprend quand même un peu avant la tragédie d'Istvaan IV pour mieux se mettre dans la peau du personnage principal du roman, le capitaine de bataille Nathaniel Garro, un vieux de la vieille de la Death Guard, légion qui va à son grand désespoir sombrer dans le Chaos. C'est tout un monde qui s'écroule pour ce héros ô combien attachant, plus même que Loken, Torggadon et Tarvitz des tomes précédents ; c'est que lui survit au désastre et se retrouve seul à devoir prendre les décisions les plus difficiles qui soient. "Les autres guerriers de ma légion m'ont trahi. Mon maître est devenu un renégat. Mes frères d'honneur sont morts, et ma légion s'est engagée sur la voie de la perfidie. Mon honneur est tout ce qu'il me reste." C'est dire les abîmes de détresse dans lesquels les soixante-dix derniers loyaux Astartes de la Death Guard et Iacton Qruzz, le "Malentendu" redevenu de son propre chef Luna Wolf après la trahison de son primarque Horus, ont des raisons de tomber. Mais Garro dissimule des trésors de volonté et de ténacité...

Ce personnage principal se dresse au milieu d'une kyrielle de personnages secondaires variés et bien campés, sans concession à la facilité et sans manichéisme. Oui, même dans un monde aussi sombre que celui de 40K, où se dressent l'un contre l'autre l'Empereur et les Puissances de la Ruine, il y a beaucoup plus de gris que de blanc et de noir (ainsi l'apothicaire Voyen ou Solen Decius). C'est le moment de la chute ou du ressaut qui déterminera l'individu.

A noter que le Warp délivre ici un petit échantillonnage de ses si fabuleuses créations avec le Seigneur des Mouches et quelques autres chefs d'oeuvre de Nurgle, la plus avenante des déités du Chaos.

A ne pas manquer enfin, un très beau duel en apesanteur sur notre bonne vieille Lune.
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très bon livre
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très bon livre
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très bon livre
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Si effectivement, certains passages sont un peu longuet, le dernier quart du livre est à mon sens un des moments les plus excitant de l'hérésie d'horus.
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