Durango, tome 10 : La proie des chacals

-Ils entrent !...Ils sont venus à bout de tous nos hommes. Nous sommes perdus ! Je..Je savais qu'il faudrait payer un jour... C'est le diable qui les envoies pour...
-C'est pas le moment de te souvenir qu'il y a une religion Alonzo !... Moi, la seule à laquelle je crois, c'est celle de mon colt et je compte bien m'en servir.

— Mais dis donc, à part ton couteau, tu n'es pas armé ?
— C'est mieux... Un indien désarmé, ça inspire confiance... On se paie sa tête, mais il n'est pas dangereux !
— Ça se défend ! Good luck, chap !

- je te remercie de n,avoir tiré de prison,
mais pourquoi tu a fait ça?
- j,étais au point d,eau, quand tu a tué ses trois hommes.je voulais intervenir mais j,étais pas armé. alors j'ai préféré
attendre la nuit.pour te sortir de la, c,étais la fille que je devais épouser,
qu'il amener.
- ok, je comprend mieux?
- c'est de ma faute,je l'ai quitté trop longtemps,et trop de fois. mais je voulais
pas rester dans la réserve,alors je suis parti chez les blancs pour voir comment
vous vivez,maintenant il faut que je la
retrouve.
- on va la retrouver,même s'il y faut que je retourne au Mexique.

— Tes bottes, mon frère ! Les visages pâles ne savent pas marcher en silence !
— Personne n'est parfait !

— C'est quoi au juste votre job, Warner ? Le trafic des squaws seulement ou de la chaire fraiche en général ? Ce n'était pas la première d'après ce que j'ai compris !

— De passage alors ? Dans ce cas, il faut que je te mette au parfum ! Quand on croise quatre cavaliers qui trainent une peau-rouge derrière un cheval dans les environs de Howland, on ne se pose pas de question... On continue son chemin en trouvant ça tout ce qu'il y a de plus... normal !

— Moi je ne laisserais pas ce scorpion en vie... Même blessé, un scorpion est toujours dangereux !