Sans doute pas un des meilleurs albums de la série, plutôt un trait d'union entre les précédents où Adèle fréquentait une ribambelle de doux dingues et de fous furieux, voir les deux mélangés dans un style feuilletonnesque, et ces “nouvelles aventures où après la guerre à laquelle
Tardi a sombrement mais justement réglé son compte. On se plait à penser que notre Adèle reprendra du poil de la bête dans l'album suivant.
Où
Tardi nous glisse quelques gros calembours avec “l'âme à Fia” ou “l'âme a ses douanes”…
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