Ce huitième épisode des aventures rocambolesques d'Adèle Blanc-Sec commence rue Coriolis, dans le XIIème arrondissement de Paris par une course-poursuite et des échanges de coups de feu entre des personnages mystérieux.
De rebondissements en avatars, on voit arriver de nouveaux protagonistes, dont un homme affublé d'une mâchoire qui rend sa diction difficilement lisible, ainsi que des limules, ces étranges animaux venus tout droit du fond des âges.
Ce tome est plein d'animation, et de très nombreux personnages, dont certains nous reviennent des premiers albums.
Tout cela oblige à conserver une certaine concentration durant la lecture, pour ne pas perdre le fil qui remonte jusqu'à Adèle et la bête, le premier opus.
Seul bémol : les textes du "dentiste", reproduits avec son défaut de prononciation, sont particulièrement difficiles à lire, ce qui nuit à la fluidité du récit.
Pour le reste, on retrouve les belles vues de Paris dont
Tardi nous gratifie dans chacun des albums.
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