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J'avais très envie de lire une aventure d'Adèle Blanc-Sec, j'ai donc lu la seule que j'ai pu me procurer à la bibliothèque. Il s'agit ici du tome 8 et Adèle a un gros souci : elle a une rage de dent. Entre deux crises de douleur, et une visite chez un dentiste, elle trouvera cependant le moyen de mener une enquête à bout. En effet, le dentiste vient de sortir de prison, il a bien l'intention de se venger… Mais de qui ? de quoi ? Comment ? le lecteur ira de surprises en surprises, à la lecture des multiples rebondissements de cette enquête. J'admets que certaines péripéties m'ont fait sourire, et qu'il en est qui auront peut-être du mal à s'en remettre. J'ai aimé aussi cette promenade dans Paris, sur terre mais aussi sous terre, promenade qui réserve aussi bien des surprises.
Une lecture très agréable.
Lien : https://deslivresetsharon.wo..
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Ce huitième épisode des aventures rocambolesques d'Adèle Blanc-Sec commence rue Coriolis, dans le XIIème arrondissement de Paris par une course-poursuite et des échanges de coups de feu entre des personnages mystérieux.
De rebondissements en avatars, on voit arriver de nouveaux protagonistes, dont un homme affublé d'une mâchoire qui rend sa diction difficilement lisible, ainsi que des limules, ces étranges animaux venus tout droit du fond des âges.
Ce tome est plein d'animation, et de très nombreux personnages, dont certains nous reviennent des premiers albums.
Tout cela oblige à conserver une certaine concentration durant la lecture, pour ne pas perdre le fil qui remonte jusqu'à Adèle et la bête, le premier opus.
Seul bémol : les textes du "dentiste", reproduits avec son défaut de prononciation, sont particulièrement difficiles à lire, ce qui nuit à la fluidité du récit.
Pour le reste, on retrouve les belles vues de Paris dont Tardi nous gratifie dans chacun des albums.
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Pour lire un Adèle Blanc Sec, il ne faut pas trop se prendre au sérieux. Tout d'abord, nous retrouverons nos personnages fétiches, des flics, des bandits et souvent un ou deux savants fous. Il ne faut pas voir peur du ridicule non plus, ça c'est pour le chapeau d'Adèle. On aime ou pas, ces personnages aux têtes de morts vivants, ces grosses lunettes noires et ces clins d'oeil à d'autres BD (ici, l'étoile mystérieuse). Bon, l'histoire en elle même est simple au départ, un célèbre voleur "le dentiste" sort de prison et se remet au travail illico presto. le coté fantastique dans ce récit consiste en l'apparition de limules un peu partout dans les eaux de Paris. Ce que j'apprécie, par contre, ce sont les dessins des différents quartiers que l'on reconnait aisément en cette fin d'hiver 1922.
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Pré-publié en 1998 dans le quotidien Libération, voici Adèle en 1922, victime d'une rage de dents. Dans le même temps un repris de justice “le dentiste” vient d'être libéré. Ce n'est sans doute pas lui qui va soigner Adèle… Mais que viennent faire dans les égouts cette ribambelle de limules, et d'abord c'est quoi une limule : côté pile on dirait un aspirateur automatique, côté face on pense à une larve d'Alien…
Allez savoir dans quelle histoire on est encore parti !
Du très bon Tardi qui renoue avec ses vieux démons, ceux que préfère Adèle.
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Je mets ici ma lecture de cette série sur pause, pour vous livrer mes ressentis. Adèle Blanc-Sec, je la connais du film de Luc Besson. Une histoire originale voire fantastique, pleine d'humour, des personnages haut en couleur. Donc quand je découvre la bande dessinée sur les étagères d'une bibliothèque, ni une ni deux, je les emprunte. Cependant, ça ne correspond pas forcément à l'image que je m'en faisais.
L'histoire est très originale, il n'y a pas à dire, voire quasiment loufoque. Nous avons intérêt à nous accrocher. Chaque tome propose de nous livrer les dessous d'une affaire. Les petites histoires des personnages s'y superposent avec les détails que cela comprend ( des détails que je m'acharne à comprendre par exemple : bref). Au bout d'un tome, où l'affaire est résolue, non sans l'intervention de momies spécialistes en nucléaire ou des monstres à tentacules surgissent (et j'en passe …) on pense avoir les réponses à toutes nos questions (et quelles réponses ! Il y a des résurgences de détails vu dans un tome précédent…), il y a d'autres questionnements qui arrivent. C'est à ne plus en finir. Parfois, peut être que c'est le cas que pour moi, mais ça commence à devenir drôlement complexe, et je n'arrive plus très bien à mettre les choses en ordre dans mon esprit. Ça donne un joli méli-mélo, que je m'obstine toujours à essayer de démêler, tout en me demandant « pourquoi ?! ». Je commençais à désespérer avec le tome 7. le tome 8 m'a paru plus facile…
Parlons des personnes, on ne s'attache pas vraiment aux personnages ! Ils semblent tous un peu antipathiques, et pourtant, on prend plaisir quand même à les suivre...
J'adore les vues de Paris, ces voyages au coeur de la capitale que nous font vivre les différentes affaires.
Les dialogues, qui participent de l'histoire, sont eux aussi burlesques. J'aime bien les jeux de mots, l'humour par répétitions, les dialogues de sourds, les réparties…
Tout cela donne une ambiance incroyable. Tardi a une sacré imagination, j'attends encore de savoir où il nous emmène, quelle sera la fin car à la fin de chaque tome, tel un roman feuilleton, une suite nous est annoncée.
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Pourquoi avoir voulu trouver un remplaçant pour le charismatique professeur Dieuleveu, un vrai méchant doublé d'un savant délirant.
Que viennent faire tous ces nouveaux personnages, la fiancée folle, le dentiste méchant d'opérette. Il semble y avoir un cassure entre le fabuleux "Tous des monstres" et cet album qui semble avoir été bricolé de toutes pièces. Non vraiment il aurait été préférable de s'arrêter avec "Tous des Monstres".
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1922. le Dentiste de prison, le Fluet s'est évadé et Adèle Blanc-Sec se retrouve prise dans des règlements de comptes entre malfrats. Après les tentacules la partie fantastique est assurée par des limules.

Ce que j'ai apprécié dans cette série :
- le personnage d'Adèle Blanc-Sec, femme qui ne sourit jamais et fume comme un sapeur. Autour d'elle les cadavres s'accumulent sans que cela semble la toucher.
- le décor du Paris des années 1920.
- Les scénarios à la roman-feuilleton, qui partent dans tous les sens et l'habileté de l'auteur à trouver des débouchés à des situations totalement délirantes.
- La morale anarchisante de l'ensemble : critique de l'autorité sous toutes ses formes, armée, police...
Lien : http://monbiblioblog.revolub..
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Histoire abracadabrantesque où l'on n'y comprend plus rien.
Illustrations pas à la hauteur
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