Le passé se modifie sans cesse autour de nous. Rien ne vous oblige à lui céder corps et âme.
Il ne suffit pas de tuer quelqu’un. Ce n’est même pas le plus difficile. Non. La préparation, oui… et le nettoyage, après. C’est là qu’il ne faut pas se planter. Les détails… c’est le plus important. C’est ce qui fait toute la différence entre l’impunité et la chute. Entre crever et survivre.
C’est tout le secret de l’espèce humaine : comment gens honnêtes ou malhonnêtes s’adaptent à l’étouffante atmosphère de la vie quotidienne. Combien de desseins d’une barbare beauté restent insoupçonnés, jusqu’à ce qu’il soit trop tard.
La mort n’a pas de partenaire et quête avidement les piètres défis que nous lui lançons. Elle entend dévorer la totalité du monde, et pas seulement quelques miettes.
Jouer les maniaques du contrôle ne sert à rien. C’est le putain de monde réel que nous affrontons ici. Et Vic…
Landshark raccroche violemment. Rien ne le fait plus sortir de ses gonds qu’une vérité qu’il ne peut encaisser.
Qui a dit que ce qu’on ignore ne peut pas vous faire de mal ?
La mort met un point d’interrogation à toutes nos existences.
Derrière toute tragédie se dissimule un bienfait qui vous guérira avec le temps.
La réalité est une plaie béante, qui peut vous saigner à blanc.