Sibérie, Georgie, Ecosse, Caraïbes, des histoires de solitude, de marins, de lacs, de route, de naufrages qui se terminent mal. On entre dans chaque histoire comme un enfant attend l'histoire du soir au moment du coucher.
Le monde terrain de jeu et de perdition, la langue et ses mots exotiques, riches, voyages en eux-mêmes.
La mort n'est pas ce qu'il y a de pire puisqu'elle est certaine.
Ces nouvelles sont un délice.
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