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Critique de AnneCeCousinesdelectures
SANSONNETS, UN CYGNE A L'ENVERS, a pour sous titre "Cent sonnets insignes allant vers...". Toute une promesse... qui sera tenue jusqu'au bout. L'auteur joue avec la phonétique et les mots, les mélange, les associe avec intelligence mais surtout une poésie pleine de lumière et de sourire. La lecture de cette oeuvre m'a évoquée le Raymond QUENEAU de ZAZIE DANS LE METRO, Raymond DEVOS et les chroniques de Stéphane DE GROODT; c'est dire si Pierre THIRY a du talent.
Alors oui, il faut être bien concentrée et parfois s'y prendre à plusieurs reprises pour apprécier pleinement le jeu des mots, mais on finit chaque sonnet avec un sourire admiratif devant tant de subtilité. C'est souvent émouvant ou drôle, parfois incompréhensible, mais toujours malin. Pierre THIRY est un poète qui ne se prend pas au sérieux et dépoussière la poésie, en tout cas celle qui m'a toujours rebutée et qui reste trop peu souvent accessible au lecteur lambda.
Sur les cent sonnets, j'ai particulièrement aimé "Ici flottaient trois sansonnets", "L'ardu roc", "J'écris", "Le rat Tur et Arthur Lerat", "C'est leste Ernest" ou encore "Que chantent les canards?".
Et la finalité que Pierre THIRY donne à ses sonnets est elle aussi formulée de la plus charmante des manières : "Ces sonnets sont des sourires en réponse à tes sourires qui me donnent encore et encore envie d'écrire et de sourire".
Je tiens à nouveau à remercier Pierre THIRY, pour sa confiance et pour la sympathique dédicace qui a accompagné son livre, touchante et poétique à l'image de ses cents sonnets. Une très jolie découverte pour moi, une petite bulle en suspension dans le temps, un refuge de douceur et de sourires qu'on devrait tous garder à portée de main. A consommer sans modération, l'abus est même recommandé!
Lien : http://cousineslectures.cana..
Alors oui, il faut être bien concentrée et parfois s'y prendre à plusieurs reprises pour apprécier pleinement le jeu des mots, mais on finit chaque sonnet avec un sourire admiratif devant tant de subtilité. C'est souvent émouvant ou drôle, parfois incompréhensible, mais toujours malin. Pierre THIRY est un poète qui ne se prend pas au sérieux et dépoussière la poésie, en tout cas celle qui m'a toujours rebutée et qui reste trop peu souvent accessible au lecteur lambda.
Sur les cent sonnets, j'ai particulièrement aimé "Ici flottaient trois sansonnets", "L'ardu roc", "J'écris", "Le rat Tur et Arthur Lerat", "C'est leste Ernest" ou encore "Que chantent les canards?".
Et la finalité que Pierre THIRY donne à ses sonnets est elle aussi formulée de la plus charmante des manières : "Ces sonnets sont des sourires en réponse à tes sourires qui me donnent encore et encore envie d'écrire et de sourire".
Je tiens à nouveau à remercier Pierre THIRY, pour sa confiance et pour la sympathique dédicace qui a accompagné son livre, touchante et poétique à l'image de ses cents sonnets. Une très jolie découverte pour moi, une petite bulle en suspension dans le temps, un refuge de douceur et de sourires qu'on devrait tous garder à portée de main. A consommer sans modération, l'abus est même recommandé!
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