Hugo quitte son travail d'ingénieur dans l'armement Allemand pour rentrer dans la résistance. Il y rencontre Eva donc il tombera éternellement amoureux. Mais leur idylle sera de courte durée puisque un obus russe y mettra fin. Eva sera passée pour morte et Hugo soigné aux USA.
Entre les USA et la russie, la guerre froide bat son plein et entre ces deux pays la concurrence est rude sur la recherche spatiale.
Une BD agrgéable, mais un peu brouillonne. Tout va trop vite a tel point que parfois on ne sait plus ou on est. Je pense que l'histoire aurait pu gagner en étant traitée de façon plus détaillée.
Il reste a voir ou va nous mener la partie deux
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Un travail sérieux, de qualité qui devrait séduire sans difficulté les amateurs du genre.
Lire la critique sur le site : ActuaBD
Jeu de Dames est une plongée dans les années cinquante, un mélo qui sait nous appâter en sous-entendant une intrigue supplémentaire, voire même complémentaire.
Lire la critique sur le site : Bedeo
Toldac pose des billes, dans un rythme très soutenu et il est encore difficile de savoir où il veut aller : une histoire d’amour ? une course technologique où tous les coups sont permis ? A voir lors du prochain tome… Quoi qu’il en soit, le graphisme, plutôt classique, se veut clair et sonne juste dans cette époque si particulière.
Lire la critique sur le site : BulledEncre
On a envie de connaître la suite ! De découvrir comment tout ça va se goupiller ! Et c’est tant mieux : c’est qu’on accroche ! Le dessin de Philan (Tupac), réaliste, est en outre parfait pour cette fiction historique orchestrée par le scénariste Toldac, ce qui ne gâche rien.
Lire la critique sur le site : Sceneario
Autodidacte ayant fait ses premières armes sur Tupac, Philam livre ici son troisième album. Produisant un travail sans grand défaut, mais qui demande encore à s’affirmer, il pâtit d’une mise en couleurs trop uniforme qui n’arrive pas à rendre l’atmosphère des fifties.
Lire la critique sur le site : BDGest
Le lecteur se retrouve constamment aux côté d’Hugo, découvre l’histoire par ses yeux. Cependant, une seule scène rompt avec ce postulat, au cours de laquelle Hugo est totalement absent (enfin presque) : il ne s’agit pas de la dernière page, mais elle intervient au milieu de plusieurs retournements scénaristiques et annonce un revirement inattendu pour le tome 2.
Lire la critique sur le site : ActuaBD