Elin, la charmeuse de bêtes, tome 2

C'est une saga que j'ai commencée un peu par hasard, parce que je cherchais à découvrir des livres de médiéval fantasy avec des personnages féminins, pour un projet à l'université.

C'est ainsi que j'ai suivi Elin, dont la mère est morte et qui se retrouve brusquement seule à devoir fuir. Dans ce second tome, elle vit aux côtés de Johun, celui qui l'a recueillie. Il va lui donner des enseignements, comme l'apiculture. C'est l'occasion pour Elin de découvrir ces animaux mais aussi de repenser à ce que sa mère lui a dit sur l'impossible dressage des tôda... Dans le même temps, nous découvrons des complots au sein de la famille royale...

La première partie de ce tome est très lente puisque nous suivons Elin dans son quotidien avec Johun. Ce dernier est très protecteur et paternel envers elle et on est témoin des liens qui se tissent entre les deux personnages. Mais cela ne m'a pas intéressée plus que cela... Quant à la seconde partie, je n'en ai pas encore compris tous les enjeux et où le mangaka veut nous emmener, mais je suis curieuse de voir ce que ça va donner !

Si j'ai trouvé ce second tome un peu lent, je suis tout de même curieuse de lire la suite... J'ai hâte de voir Elin au contact des tôda et cela met du temps à arriver pour le moment ! J'ai tout de même passé un bon moment de lecture et j'ai pu apprécier les jolies illustrations !

Un tome qui explique le fonctionnement des ruches.
L'héroïne tente de s'adapter à un nouveau milieu.

Elle prend beaucoup de plaisir à vivre au sein de la nature.

Nous apprenons aussi un peu plus d'informations sur les différents royaumes et forces en présence.

À suivre

Deuxième tome de Elin, la charmeuse de bêtes, dont on avait trouvé le premier intéressant et prometteur, mais qui n'était au final qu'une lente et longue introduction, et qui se contentait de poser les bases.

Et force est de constater que ce n'est pas ce que l'on espérais. Les premiers chapitres sont assez ennuyeux à suivre. On voit Elin qui découvre la vie à la campagne, en compagnie de Johun, l'homme qui l'a recueilli. Elle va notamment prendre des cours d'apiculture, mais comment vous dire… ? Elle va apprendre le B.A-Ba ! le fonctionnement d'une reine, le fait de ne pas toucher les abeilles sans quoi elle piquent, les bienfaits de la gelée royale etc…

Alors certes, la petite Elin découvre un peu la vie, et on comprends bien ce que la mangaka à voulu faire, mais en tant que lecteur, je me suis profondément ennuyé. J'ai eu le sentiment qu'on avait un manga tranche de vie, avec Elin découvre le miel, Elin va au marché, Elin apprends à lire. Un peu trop didactique à mon gout.

Il faut donc attendre la moitié du tome pour que de nouveaux personnages entrent en scène et cette fois-ci, on va découvrir que des complots se trament pour la famille royale. On retiendra en particulier un certain Ialu, membre de la garde rapproché qui se révèle assez intéressant.

Néanmoins, l'aventure s'arrête ici pour ma part, car je ne sais pas vraiment vers où le titre s'oriente, et même s'il a de très bonnes qualités (notamment graphiquement), après deux tomes, il n'y a pas ce petit truc en plus qui me donne envie de connaitre la suite.

Quoi de mieux pour bien finir le week-end qui a bien trop vite passé que de retrouver notre chère Elin 😉

Nous retrouvons Elin et Johun qui commencent à vivre ensemble. Elin fait plaisir à voir, elle a une grande soif d'apprendre. Et Johun aime enseigner. Il a l'air ravi d'avoir cette petite fille avec lui. Elin veut également participer, et ne pas juste être une charge. Elle y est prête. Johun va lui apprendre l'apiculture, la vie des abeilles, qui va beaucoup l'intéresser et l'intriguer. Sa curiosité peut également lui nuire, car elle la met en danger par moment. Il la met en garde aussi que les animaux ne sont pas des humains, ce qui lui rappelle ce que lui disait sa mère. D'ailleurs, par moment, elle se rappelle des conseils de sa mère. Des questions restent en suspens, tout comme sur Johun. Qui est-t-il ? Qu'elle a été sa vie jusqu'à aujourd'hui, son histoire ? Mais quand il part chercher des remèdes médicinaux en risquant de se retrouver confronter aux Todas, Elin sera désemparée, avec la peur de se retrouver à nouveau seule. Que va-t-elle faire ? Que va-t-il arriver ? Après une première partie assez douce et tranche de vie, avec des questionnements qui nous viennent, la deuxième partie où Elin a peur et où nous apprenons un peu plus à connaître le monde, les règles, les légendes, ce qu'il s'est passé, comment cela fonctionne, est prenante. Nous suivons entre autre un bouclier, un jeune homme plein de surprises, avec son passé qui ne lui a pas laissé tellement le choix. Et enfin, nous faisons la rencontre d'un animal s'appelant Oju, où nos yeux s'attardent sur lui, nous sommes intrigués. Cela a été un plaisir de retrouver Elin, et c'est juste triste de la quitter si vite. Vivement la suite.

La première partie est tranche de vie mais intéressante, également les questionnement d'Elin et ce dont elle se rappelle.
La fin de la première partie est prenante.
La deuxième partie permet d'en apprendre plus sur leur monde et son fonctionnement.
A part les Toda, nous faisons la rencontre des Oju au cours du tome.
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J'avais plutôt apprécié la lecture du premier tome d'Elin La charmeuse de bêtes, malgré une esthétique qui ne me parlait pas plus que ça. Je ne pouvais donc qu'être au rendez-vous pour ce deuxième volume qui nous propose de développer davantage la relation entre l'héroïne et Johun, tout en étoffant l'univers.

Après l'exécution de sa mère, dévorée par les tôda, Elin est sauvée de justesse par Johun, un apiculteur bienveillant. Elle mène désormais une vie paisible à ses côtés, tout en se questionnant sur l'étrange don que possédait sa mère…

Pendant ce temps, Ialu, membre de la garde rapprochée de la famille royale, craint un attentat…

Ainsi, comme le laisse à penser le résumé, ce tome se segmente en deux parties bien distinctes : la première suit Elin dans son nouveau quotidien aux côtés de Johun, alors que la seconde met en avant de nouveaux éléments de l'univers qui s'éloignent de son personnage principal pour nous en présenter de nouveaux, qui s'accompagnent d'enjeux de plus grande envergure.

Mais dans un premier temps, voyons ce qu'il en est concernant cette première partie. Nous reprenons dans la continuité de ce que la fin du premier tome nous proposait, Elin découvrant jour après jour le quotidien d'apiculteur de Johun. Cette description semble tout à fait crédible au profane que je suis, nous expliquant ce qu'est la gelée royale où encore comment naissent les reines abeilles. Cette façon à la fois didactique mais aussi très agréable de nous décrire le mode de vie de ces animaux m'a beaucoup plu, surtout que ce n'est pas une chose à laquelle je m'attendais en entament cette série. Ces moments de vie sont également l'occasion d'approfondir la relation entre les deux personnages, Johun ayant clairement un comportement paternel et protecteur envers Elin, le rendant extrêmement sympathique. La jeune fille prouve également encore une fois son intelligence et sa soif d'apprendre qui contribue aussi à en faire un personnage très attachant.

Et cette partie est encore une fois l'occasion de développer plusieurs éléments en lien avec les animaux qui me parlent personnellement. J'ai identifié en particulier deux choses. La première concerne la jument de Johun, que l'homme considère comme un membre de sa famille. Mais cela ne l'empêche pas d'expliquer à Elin que malgré le lien qu'ils ont, les animaux ne fonctionnent pas comme les humains et peuvent donc avoir des réactions imprévisibles. Cela rappelle à la jeune fille les mots de sa mère qui lui a dit dans le premier tome que les Tôda ne pourraient en aucun cas être domestiqués). Ce renvoi au premier tome me laisse à penser que cette thématique va encore être approfondie au fil de l'histoire. L'autre élément qui m'a interpellé vient d'une scène où Elin, très curieuse envers les abeilles, s'approche pour en caresser une mais se fait piquer. On voit qu'au-delà de la douleur de la piqûre, la fillette regrette surtout son geste car l'abeille est morte suite à cela. Ainsi, Elin comprend qu'on a une responsabilité vis-à-vis de notre comportement envers les animaux, qui peut avoir de graves conséquences pour eux.

Pour finir sur cette partie, Elin et Johun ont également l'occasion de découvrir une nouvelle créature (dont je ne vais pas vous dévoiler l'apparence pour ne pas gâcher la surprise), mais c'est l'occasion d'une très belle scène, magnifiquement illustrée et qui vient poser une question intéressante pour la suite de l'intrigue. Car même si cette première partie du tome ne fait pas considérablement avancer les choses, quelques pistes intéressantes se dessinent et surtout, la lecture reste très plaisante de par les réflexions proposées, le développement des deux personnages et l'ambiance qui est posée.

Concernant la deuxième partie du tome, je ne vais pas trop m'étendre dessus. Je vais simplement signaler qu'elle est l'occasion de présenter de nouveaux personnages (en particulier la famille royale) et une nouvelle partie de l'univers. Certains éléments, notamment concernant les Tôda, laissent à penser qu'un lien va se faire entre cette partie de l'intrigue et l'histoire d'Elin, mais à ce stade, il semble difficile de savoir où tout cela va aller. Cela n'en reste pas moins très intéressant de voir que le récit prend de l'ampleur.

En résumé, ce deuxième tome est dans la droite lignée du premier, étoffant dans sa première partie les relations entre Elin et Johun qui sont tous les deux de très beaux personnages. La thématique animalière continue d'intéresser en proposant de nouvelles pistes de réflexions qui seront très certainement étoffées par la suite. Mais c'est surtout la deuxième partie du tome qui intrigue, dévoilant de nouveaux personnages et tout un pan de l'univers que l'on ignorait jusque là. Mais il est pour le moment compliqué de savoir où va aller le récit, ces deux premiers volumes faisant plutôt office d'introduction pour le moment. Cela ne m'empêche pas d'attendre le troisième en espérant que tout cela prenne davantage d'ampleur et de densité.
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Bon.. je suis surprise dans le mauvais sens. J'avais gardé un très bon souvenir du premier tome en général, j'avais même espéré un petit résumé pour me rafraîchir la mémoire et je reprends ainsi la série avec des interrogations. Avais-je vraiment pris Élin pour un manga tranche-de-vie ? Ca m'a ainsi déçue de lire une moitié de manga centrée sur la découverte du monde de la petite..sans vraiment savoir vers quoi la série voulait nous mener. C'est lorsqu'on amorce le mythe que cela devient plus intéressant.. J'ai le prochain tome en main, on va vite être fixé pour la suite.

Après la lecture de ce deuxième tome, je suis à nouveau un peu mitigée. Il y a vraiment des éléments de la mythologie qui me plaisent énormément et en même temps je m'ennuie un peu avec notre héroïne et la tournure qu'a pris sa vie.
Commençons par le négatif. Quand on suit Elin qui a été recueillie par une espèce d'ours des bois, c'est très monotone. C'est une petite vie tranquille (ou presque) à la campagne et ce n'est pas ce que je recherche dans ce titre. du coup, ça me laisse sur ma faim. Leur relation est mignonne et se développe bien, mais je souhaite quelque chose de plus. Heureusement, les autrices semblent le remarquer et déjà vers la moitié du tome, elles commencent à réintroduire des éléments en rapport avec sa vie d'avant qui vont pousser l'intrigue plus loin. Ouf.
Maintenant parlons du positif, c'est-à-dire toute la seconde partie de ce tome. On y apprend plein de choses sur la formation des pays entourant notre héroïne, sur leurs dirigeants, les liens avec les Todas et d'autres créatures : les Ôjus. C'est passionnant et j'aime beaucoup l'ambiance mythique que cela confère. On se sent vraiment pris dans une histoire d'un autre temps. Même si très vite, les autrices rattachent tout ça à la politique actuelle pour commencer à nous brosser un tableau assez complexe qui devrait nous tenir en haleine dans les prochains tomes.
J'ai donc encore eu, avec ce tome, la sensation d'être dans l'introduction de l'histoire, ce qui commence à faire un peu long. Certes, on nous donne des pistes pour la suite mais l'histoire à du mal encore à décoller et c'est un vrai regret tant je la sens prometteuse.
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Très bon tome 2, où l'on peut découvrir une Elin heureuse et épanouie.

Le lien qu'elle partage avec l'apiculteur est spécial et j'aime beaucoup leur relation père/fille.

J'ai hâte d'en savoir plus sur la culture de l'univers et sur la mère d'Elin

On continue à découvrir la personnalité et les capacités parfois surprenantes d'Elin dans ce volume, elle est toujours aussi attachante. le rythme m'a semblé plus mesuré que dans le 1er tome et j'aime bien comment sont amenées les infos sur l'univers et les créatures magiques.

Toujours aussi passionnant, ce second opus d'Elin, charmeuse de bête tient ses promesses en nous faisant découvrir d'avantage cet univers fantasy très intéressant avec un bestiaire riche et varié. le coup de crayon sublime les aventures de la petite Elin qui voit peut-être la chance lui sourire pour recommencer sa vie à zéro. Elin vient de vivre un moment traumatisant avec l'exécution de sa mère et le destin a voulu qu'elle soit sauver par Johun, un éleveur d'abeilles qui récolte du miel afin d'en vivre. Tranquille dans sa montagne, il a très peu de contact avec le reste du monde, mais c'est quelqu'un de passionné par ce qu'il fait et par la musique. Il ne faut pas se fier à son physique d'ours barbu, c'est quelqu'un de très intelligent et éduqué qui va prendre sous son aile Elin, qui s'avère être un véritable génie curieuse de tout. Elin fait face à un nouveau monde qui la fascine, elle apprend énormément de choses et c'est un véritable plaisir de la voir s'épanouir. Pourtant, ce qui est arrivé à sa mère l'a traumatisé, elle craint les Tôdas qu'elle adorait tant auparavant et elle ne sait pas quoi dire à Johun qui endosse le rôle de père. de nouveaux personnages font apparition, bien que certains nous soient familiers. Ils intriguent, surprennent et on souhaitent en apprendre davantage sur eux, surtout sur Ialu qui sort du lot avec son caractère taciturne et sa vision du monde si sombre.