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Critique de DHALLUIN


Pauline a pour principe de porter l'amitié très haut dans son coeur. D'où confusion possible entre amitié et amour.
Pauline travaille dans une parfumerie et aide Mme Voisin, la libraire. Elle aime Maxence, ex-chauffeur du président du Conseil général mais incarcéré car il n'a pas voulu « charger » son employeur dans une sombre affaire de pots de vin dont la politique est friande.
Quincy Farriol, le narrateur, poseur de moquettes, est accessoirement écrivain et son premier roman reçoit le Prix de la maison d'arrêt où Maxence purge sa peine. Quincy est l'archétype du raté.
Maxence et Quincy se trouvent liés par leur attirance pour Pauline. Mais rien n'est simple pour Quincy qui ne veut pas trahir Maxence et celui-ci se veut le protecteur de Quincy. Un embrouillamini qui se développe au fil des pages.
Didier van Cauwelaert semble en connaître un bout sur les arcanes politiciennes louches et l'affaire actuelle autour de Sarko et les anciennes qui entachent pas mal d'hommes politiques de tous bords donnent du crédit à ce qu'il avance.
L'auteur fait preuve d'une grande maîtrise du verbe et ravit le lecteur par les nombreux rebondissements qui émaillent son roman ; une ironie de bon aloi l'égaie également.
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