il y a déjà quelques années, après avoir lu "
l'homme aux cercles bleus", j'ai laissé tomber Vargas, que j'aimais bien au début, en pensant qu'elle écrivait toujours la même chose. Aujourd'hui, je décide de retenter le coup une fois, avec cet "homme à l'envers". J'aurais mieux fait de m'abstenir. En effet, toujours la même chose, des banalités, pire, des lieux communs comme je n'imaginais pas qu'on puisse en écrire encore aujourd'hui. Je retourne à Camilleri.
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