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Critique de QTXXI
La demande de la part de Gleeph d'écrire un avis détaillé et (j'ai fait au mieux) objectif sur « la danseuse automate » est un sacré défi. Défi car jusqu'à présent je lisais des ouvrages qui m'intéressaient à première vue (excepté pour certaines oeuvres sombres au collège et au lycée), mais surtout car je pouvais écrire à peu prêt ce que je voulais concernant ladite oeuvre.
Cette fois, je suis bien embêté. Un roman dystopique c'est clairement ma came. Que ce soit pour mon incommensurable scepticisme par rapport à l'avenir ou juste pour le plaisir de dire aux personnages « ce n'est pas comme si on ne vous avait jamais prévenu. »
Sauf qu'ici « L'homme bicentenaire » d'Asimov et « Pinocchio » de Collodi viennent montrer le bout de leur nez assez rapidement….. Et attends, STOP !!
Je suis en train de juger quelqu'un qui a réussi à faire quelque chose que je peine à finir depuis des mois. Ecrire un livre. C'est une expérience difficile, où la remise en question est constante. Certains essayent depuis des années d'écrire un bon bouquin, pourtant Guillaume et Marc n'ont encore jamais réussi. Qui je suis moi, pour répéter les choses que vous avez sûrement déjà lu ailleurs ?
Ecrire un roman est difficile, il faut beaucoup de résilience pour mettre un petit peu de nous dans chacun des personnages. Alors oui, je n'ai pas vraiment été transporté dans « La danseuse automate », car écrire demande de l'expérience et du temps.
En revanche, l'univers de Garance Verdon-Avizou demande clairement à être creusé, amplifié, exploré. Ce n'est pas quelque chose qui se fait en un roman. Je vous recommande donc de découvrir cet univers un petit peu barré. Mine de rien, donner sa chance à une auteure qui a des idées, ça peut-être pas mal non ?
Merci à Gleeph pour l'opportunité d'avoir pu lire ce roman, j'ai mis du temps à le rédiger car je devais trouver un axe qui me convenait. le fait d'avoir pu mettre une petite balle perdue à deux de nos contemporains a été aussi assez jouissif. Rêvez, ne vous contentez pas de la médiocrité. Concernant l'auteure, j'espère qu'elle continuera à s'entrainer avec pugnacité pour que son univers soit au niveau de ses ambitions.
Cette fois, je suis bien embêté. Un roman dystopique c'est clairement ma came. Que ce soit pour mon incommensurable scepticisme par rapport à l'avenir ou juste pour le plaisir de dire aux personnages « ce n'est pas comme si on ne vous avait jamais prévenu. »
Sauf qu'ici « L'homme bicentenaire » d'Asimov et « Pinocchio » de Collodi viennent montrer le bout de leur nez assez rapidement….. Et attends, STOP !!
Je suis en train de juger quelqu'un qui a réussi à faire quelque chose que je peine à finir depuis des mois. Ecrire un livre. C'est une expérience difficile, où la remise en question est constante. Certains essayent depuis des années d'écrire un bon bouquin, pourtant Guillaume et Marc n'ont encore jamais réussi. Qui je suis moi, pour répéter les choses que vous avez sûrement déjà lu ailleurs ?
Ecrire un roman est difficile, il faut beaucoup de résilience pour mettre un petit peu de nous dans chacun des personnages. Alors oui, je n'ai pas vraiment été transporté dans « La danseuse automate », car écrire demande de l'expérience et du temps.
En revanche, l'univers de Garance Verdon-Avizou demande clairement à être creusé, amplifié, exploré. Ce n'est pas quelque chose qui se fait en un roman. Je vous recommande donc de découvrir cet univers un petit peu barré. Mine de rien, donner sa chance à une auteure qui a des idées, ça peut-être pas mal non ?
Merci à Gleeph pour l'opportunité d'avoir pu lire ce roman, j'ai mis du temps à le rédiger car je devais trouver un axe qui me convenait. le fait d'avoir pu mettre une petite balle perdue à deux de nos contemporains a été aussi assez jouissif. Rêvez, ne vous contentez pas de la médiocrité. Concernant l'auteure, j'espère qu'elle continuera à s'entrainer avec pugnacité pour que son univers soit au niveau de ses ambitions.
