"(...) - Parler de ces nichons hors-pair m'excite, bien sûr, mais les voir m'enchanterait. Mmh. J'imagine leurs pointes brunes qui se dressent, doucement flattées par la caresse de la soie fraîche.
- Vous êtes fou !
- Si vous me les montrez, je vous file ma part de dessert !
(...)"
Martin VEYRON, L'amour propre ne le reste jamais très longtemps, 1983, Albin Michel (p. 23).
"L'amour physique est sans issue."
Serge GAINSBOURG,
épigraphe à Martin VEYRON, L'amour propre ne le reste jamais très longtemps, 1983, Albin Michel (p. 16).
"(...) - Viens ! Le premier qui jouit a perdu !
(...)"
Martin VEYRON, L'amour propre ne le reste jamais très longtemps, 1983, Albin Michel (p. 16).
"(...) La grossièreté, c'est pareil, au bon moment, c'est excitant, au mauvais, c'est la douche !
(...)"
Martin VEYRON, L'amour propre ne le reste jamais très longtemps, 1983, Albin Michel (p. 15).
"(...)
- N'empêche, elle pipait comme une reine !
- Oui, mais ça, tu le connaissais déjà.
- C'est une perpétuelle découverte !
(...)"
Martin VEYRON, L'amour propre ne le reste jamais très longtemps, 1983, Albin Michel (p. 14).
"(...) - C'est pénible d'entendre parler de nos anatomies comme s'il s'agissait d'instruments ! On parle de vos bites nous ?
- Justement, c'est bien ce qu'on vous reproche ! Si vous aviez une approche un peu plus scientifique de la chose, on en serait pas là ! Avec votre romantisme à la con, vous exigez des caresses interminables, alors que ça nous fait prodigieusement chier de vous les prodiguer ! Parfaitement ! Il n'y a plus que les brouteurs de minous qui trouvent grâce à vos yeux ! Pas étonnant que vous tourniez goudous ! (...)"
Martin VEYRON, L'amour propre ne le reste jamais très longtemps, 1983, Albin Michel (p. 13).
- Vous faites le point G ?
- T'as des sous ?