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Critique de iris29
Je me tatais à le lire pile vers la fin du mois , histoire de coller au calendrier festif et présenter mes voeux , mais je me suis dit, que ça risquait d'envoyer un message négatif , on n'est jamais trop prudent ;-)) Alors je l'ai lu hier soir en un clin d'oeil puisque ce roman est tout mini, il ne fait que 170 pages.
Petit mais costaud (de par le sujet), une femme de 45 ans, qui ayant perdu sa mère quatre ans auparavant , puis ayant accompagné son père décédé des suites d'une longue maladie, se retrouve orpheline. Elle n'a pas d'enfants, pas d'amoureux, et une seule amie , un peu dépressive.
Sylvie , c'est boulot et plus grand chose d'autre depuis le départ de son papounet...Et donc, notre Sylvie ayant perdu toute envie de vivre décide de se suicider pendant les fêtes. Mais avant quand même , elle ira voir un psychologue , histoire de peaufiner son plan (le jour, l'heure et le lieu) avec sa bénédiction. Mais ce saint homme, en bon professionnel, décide de lui donner des "devoirs" avant, et Sylvie accomplissant ces épreuves en bonne élève qu'elle est, va changer du tout au tout .
Vitaminé, cash, marrant, ce roman louvoie entre les humeurs de notre quarantenaire et il faut s'accrocher parce que c'est sinistre parfois, mais toujours désopilant. Sylvie appelle un chat, un chat... Sylvie ne nous ménage pas , vu qu'elle ne se fait aucun cadeau à elle, mais petit à petit Sylvie va s'apprécier et c'est le coeur tranquille qu'on refermera ces pages en se disant tout de même que dans nos villes, la plus profonde misère cotoie , la plus grande oppulence ou les petits bonheurs tranquilles, et ça laisse un goût un peu amer, quand même...
Petit mais costaud (de par le sujet), une femme de 45 ans, qui ayant perdu sa mère quatre ans auparavant , puis ayant accompagné son père décédé des suites d'une longue maladie, se retrouve orpheline. Elle n'a pas d'enfants, pas d'amoureux, et une seule amie , un peu dépressive.
Sylvie , c'est boulot et plus grand chose d'autre depuis le départ de son papounet...Et donc, notre Sylvie ayant perdu toute envie de vivre décide de se suicider pendant les fêtes. Mais avant quand même , elle ira voir un psychologue , histoire de peaufiner son plan (le jour, l'heure et le lieu) avec sa bénédiction. Mais ce saint homme, en bon professionnel, décide de lui donner des "devoirs" avant, et Sylvie accomplissant ces épreuves en bonne élève qu'elle est, va changer du tout au tout .
Vitaminé, cash, marrant, ce roman louvoie entre les humeurs de notre quarantenaire et il faut s'accrocher parce que c'est sinistre parfois, mais toujours désopilant. Sylvie appelle un chat, un chat... Sylvie ne nous ménage pas , vu qu'elle ne se fait aucun cadeau à elle, mais petit à petit Sylvie va s'apprécier et c'est le coeur tranquille qu'on refermera ces pages en se disant tout de même que dans nos villes, la plus profonde misère cotoie , la plus grande oppulence ou les petits bonheurs tranquilles, et ça laisse un goût un peu amer, quand même...
