Citations sur Les voleurs d'âmes, tome 6 : N'ouvre pas les yeux (14)
- Nous avons promis de ne pas..., lâchais-je.
A ce moment-là, il vint me rejoindre dans le lit et je fis courir mes mains sur son ventre. Je ne pouvais pas m'en empêcher.
- C'est toi qui as promis, pas moi. En plus je lui ai dit que je commettrais certainement d'autres erreurs. Là où je ne me trompe pas, en tout cas, c'est pour mes mains, en ce moment : j'ai les mains à la bonne place.
- Ton cœur, corrigeai-je. On dit "J'ai le cœur à la bonne place."
- Peut-être, mais mes mains encore plus.
Je ne pouvais que le confirmer.
Kaylee à Tod p403
-Où est ton amoureux ?
-Il travaille
[...]
-Et ton amoureuse à toi, elle est où ?
- A lit.
-Dans le tien ?
- Ouais, admit-il
Un instant, le souffle me manqua, surprise par le creux qui s'était formé dans ma poitrine-une douleur fantôme des plus inattendues.
-C'est bien ce que tu voulais, non ? Que je sorte avec elle pour pouvoir t'oublier ?
-Je ne veux pas lui faire plus de mal que nous ne lui avons déjà fait, Tod. J'ai dit à Sabine que si elle accordait de l'importance à notre amitié, elle garderait ça pour elle ?
- Parce que vous êtes amies, maintenant ?
- Si ça peut empêcher d'étaler notre vie privée devant tout le monde, alors oui, nous sommes amies.
Kaylee à Tod p.306
Sourcils froncés, je la considérai avec hardiesse.
- A compter de maintenant, le service des réclamations, c'est nous, et si vous déclinez notre offre de collaboration, nous continuerons sans vous. A ce stade, vous êtes celle qui a le moins à offrir !
Madeline pinça les lèvres, fulminant de colère, et Sabine partit dans un grand rire.
- Nom d'un chien ! La mort te va bien, Kaylee !
Ça ne veut rien dire, protestai-je. Il est sans doute venu ici sans y penser, par réflexe ou par habitude.
- (Sabine) Non, Kaylee.
Décontenancée par le chagrin que je lisais dans ses yeux, je m’accrochai de plus belle à la main de Tod.
- (Sabine) Il savait parfaitement ce qu’il faisait. Tu es son choix, Kaylee. Moi, je ne suis qu’une habitude.
-Mr Cavanaugh, dit enfin Tod, je sais que ce n'est pas l'avenir dont vous aviez rêvé pour Kaylee, et que je ne suis pas l'homme que vous auriez voulu pour elle. Je ne vais même pas affirmer que je suis assez bien pour elle. Je sais que j'ai commis des erreurs, et que ce ne seront certainement pas les dernières. Mais je l'aime de tout mon cœur, de toute mon âme ! Mon cœur ne bat que pour elle, au sens propre du terme, Je serai capable de tout pour elle. Elle passera toujours en premier. Et tant qu'elle voudra bien de moi, je ne la quitterai pas. Kaylee est la personne la plus forte que je connaisse. Elle peut affronter l'éternité seule. Mais je vous jure sur mon âme, que tant que je serai là, elle n'y sera pas obligée.
Emma : Je n’arrive pas à croire qu’ils se soient embêtés à remplacer ce prof ! Ils feraient aussi bien de rebaptiser ce cours « Défense contre les Forces du Mal ». Sérieusement, qui peut être assez fou pour répondre à une annonce pour ce poste ?
Je n'ai jamais eu un p'tit copain à ma fête, et je n'ai jamais eu un père à ma fête. Et certainement je n'ai jamais été morte à ma fête.
Mon téléphone se mit à vibrer dans ma poche ; je posai le pendentif entre les pages ouvertes de mon livre de chimie et attrapai l'appareil dans ma poche, sur l'écran s'affichait un message de Tod
Arrivée prévue dans cinq... quatre... trois... deux...
- Un...
Il était debout sur le tapis au pied de mon lit.
Une sorte de serial killer, l’option vol d’âmes en plus ? demanda Alec.
- Moi, je l’ai surnommé « Frosties », fit Luca.
Sa réflexion lui attira des regards perplexes de toute l’assemblée.
- Mais si, vous savez, comme les céréales… Parce que c’est un « céréale killer ».
- J’aurais plutôt dit Cruesli, à cause du côté cruel, nuança Alec.
A son tour, il eut droit à des coups d’œil déconcertés.
- Quoi ? Je suis le seul à me rappeler ce qu’on mangeait au petit déjeuner, dans les années quatre-vingt ?