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Critique de Sevlipp
La religion est un gros pavés de 853 pages sur fond de guerres de religions.
Mathias, le héros, connait le fonctionnement des belligérants car il a vécu dans les deux camps.
Ce roman, parfaitement écrit, dénonce l'absurdité de ces guerres.
J'ai trouvé les personnages intéressants, de Mathias à ses compagnons de guerre, de Carla et son fils à Ampuro...
Les méchants sont bien méchants et les gentils, et bien... gentils.
Par contre, les scènes de batailles sont un chouïa trop longues et je les ai lu parfois en diagonal.
Je sors donc un peu mitigée de cette lecture et je ne crois pas que je lirais la suite. Je n'éprouve pas suffisamment le besoin de retrouver les survivants et de savoir ce qui va leur arriver.
Mathias, le héros, connait le fonctionnement des belligérants car il a vécu dans les deux camps.
Ce roman, parfaitement écrit, dénonce l'absurdité de ces guerres.
J'ai trouvé les personnages intéressants, de Mathias à ses compagnons de guerre, de Carla et son fils à Ampuro...
Les méchants sont bien méchants et les gentils, et bien... gentils.
Par contre, les scènes de batailles sont un chouïa trop longues et je les ai lu parfois en diagonal.
Je sors donc un peu mitigée de cette lecture et je ne crois pas que je lirais la suite. Je n'éprouve pas suffisamment le besoin de retrouver les survivants et de savoir ce qui va leur arriver.
