Elle sortit du bureau de Gontran, le sourire et le rouge sur les lèvres, se projetant dans son avenir imminent. Et elle se demandait, à moitié sérieuse, comment elle allait transformer en argument marketing à destination du grand public chinois le fait que leurs produit phare avait était spécialement conçu pour faciliter les fellations de longue durée.
Elle essaya d’abord de lutter, gênée par l’indécence de penser au père pendant que le fils œuvrait à inonder de salive chaque recoin de son intimité, stimulant délicieusement son sexe avide de sensations, la douceur veloutée d’Etienne qui contrastait violement avec l’intensité sauvage de la pénétration exécutée par Gontran qui l’avait empoignée par les hanches, debout derrière elle.
La sensation était à la fois terriblement agréable mais aussi lourde d’une menace à peine voilée, et Etienne voyait sa verge gonflée qui était comprimait par le pied et la cheville, pendant que ses cuisses se faisaient frôler par les talons pointus, le dissuadant de toute manœuvre d’évitement. Il observait Léana et la voyait comme fascinée par son propre spectacle, pied et chaussures astiquant sans douceur sa virilité, sans réaliser que sa femme était en train de comparer, à son désavantage, la taille de sa verge avec celle de son propre père.