Je n'aime pas mettre zéro alors j'ai mis 1/5 en appréciation.
Ce livre d'
Arlette Wylid comprend deux cahiers.
Le premier est en partie le journal d'une intimité entre fille et mère, au seuil de la mort de celle-ci. Les propos sont acerbes et m'ont laissé une drôle d'impression...
Jugez-en plutôt :
"Après des digressions dictées par une sorte de lâcheté, des détours d'hypocrite, je me rappelle que je voulais écrire en tête d'un chapitre, peut-être même en exergue : elle sent mauvais, ou plus vulgairement : elle pue."
ou
"Dans ses rares cheveux gris près de cet endroit il y avait deux miettes prisonnières. Je savais qu'il était de mon devoir de les pincer entre pouce et index et de les enlever de là. Mais ces deux miettes insolites provoquaient en moi un tel dégoût que je n'ai pas eu le courage de le faire."
Le second tranche dans l'aventure d'une existence des parts de vie où je ne l'ai lu que la description de ses nombreuses conquêtes masculines ; cela devient si lassant que j'ai fini par lire en diagonale et sauter les pages.