Mon premier roman de
Stefan Zweig, mis à part
le Joueur d'échecs bien sur. Il s'agit d'un scénario vu 100 000 fois, un homme, une femme marié, l'amour impossible, la séparation, l'oubli des corps, des âmes, des coeurs, la rencontre du passé et du présent et ces vers de
Verlaine
dans le vieux parc solitaire et glacé,
deux spectres cherchent le passé.
Ce livre est bouleversant. Qui à part
Stefan Sweig peut décrire les sentiments, la psychologie, la torture des coeurs sans tomber dans le mélo, le superfétatoire, la palinodie.
Magnifiquement traduit par
Baptiste Touverey, cette courte nouvelle de 100 pages, de deux heures de passion, est un livre bouleversant de légèreté et d'intensité.
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