Cette lecture est très plaisante. J'ai retrouvé le style inimitable de
Stefan Zweig et sa façon si particulière de dépeindre les sentiments. Ce qui m'a gêné, c'est le côté trop manichéiste des personnages et l'idée absurde et datée de l'animal anthropomorphe qu'on oppose aux êtreshumains qui sont forcément du bon côté de la barrière. On sait bien aujourd'hui que cette vision de l'Homme est fort simpliste. Limpley en l'occurrence n'est pas sans reproche. Or il est décrit comme le gentil de l'histoire, ce qui me perturbe.
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