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Critique de Cacha
L'auteur nous montre comment le destin d'une femme peut basculer en un moment de folie amoureuse.
Une vieille dame anglaise, discrète et quelque peu guindée, prend la défense d'une femme ayant abandonné brutalement sa famille, après une brève rencontre. Elle-même a connu une aventure presque similaire pour avoir voulu sauver un jeune homme de la passion du jeu.
Comme toujours chez cet auteur, les sentiments des personnages sont très finement analysés. A l'improbable histoire d'amour, se rajoute la description méthodique de la fièvre qui s'empare d'un joueur invétéré, les raisons pour lesquelles il en est arrivé là, au-delà de l'honneur et de la reconnaissance. J'ai admiré la description des mains des joueurs : les regarder indique beaucoup sur eux (d'après le défunt mari de la dame), outre tromper son ennui.
Stefan Zweig était décidément un très grand écrivain.
Une vieille dame anglaise, discrète et quelque peu guindée, prend la défense d'une femme ayant abandonné brutalement sa famille, après une brève rencontre. Elle-même a connu une aventure presque similaire pour avoir voulu sauver un jeune homme de la passion du jeu.
Comme toujours chez cet auteur, les sentiments des personnages sont très finement analysés. A l'improbable histoire d'amour, se rajoute la description méthodique de la fièvre qui s'empare d'un joueur invétéré, les raisons pour lesquelles il en est arrivé là, au-delà de l'honneur et de la reconnaissance. J'ai admiré la description des mains des joueurs : les regarder indique beaucoup sur eux (d'après le défunt mari de la dame), outre tromper son ennui.
Stefan Zweig était décidément un très grand écrivain.
