AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
>

Critique de Ori


Ori
15 janvier 2009
Vingt-quatre heures de la vie d'une femme de Stephan Zweig, Livre de poche
Dans une pension de famille tranquille, calme, habitée par des gens de classes aisées, survient un drame. Une femme mariée, mère de deux enfants a pris la fuite avec son amant. Les habitants de la pension la condamnent tous pour son acte irréfléchi. Tous sauf un, le narrateur, qui n'hésite pas à prendre sa défense et à s'attirer les foudres des autres pensionnaires. Cependant une vieille dame anglaise, frappée par tant de compréhension va se rapprocher de lui. Elle lui contera alors vingt-quatre de sa vie, vingt-quatre bouleversante au cours desquelles sa vie a basculé, suivant le chemin de cette autre femme. Zweig nous raconte une nouvelle histoire de la passion, passion amoureuse, passion du jeu, "passion" de cette femme prête à tout pour sauver son prochain, même aux pires bassesses.
Encore une fois, l'évolution des moeurs font que le pêcher commis par cette femme m'a semblé bien véniel, mais Zweig réussit le tour de force de m'émouvoir malgré tout. Je ne regarderai plus les mains des gens du même oeil désormais. Et je vous conseille de vous ruer sur cette nouvelle pour comprendre le côté sibyllin de cette dernière phrase.
Commenter  J’apprécie          60



Ont apprécié cette critique (4)voir plus




{* *}