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Critique de LLebrown


Les excès de celui qui luttait pour sa survie en menaçant celle des autres sont toujours là mais l'espoir s'est envolé. Zykë renoue avec ses racines, l'Albanie, et le résultat est noir comme une nuit sans fin. Plus d'amitié, plus rien. L'échec des idéologies et l'avènement du capitalisme ont fini de sacrifier l'ange à la moustache épaisse et aux gros biceps. L'écriture s'en ressent. Aride, elle peine à tenir en haleine. Il n'y a plus que des verbes et des compléments. le sujet a disparu. On lutte quand même dans l'espoir d'une lumière. Il n'y en a pas. le cahier du retour au pays natal a accouché d'une albanitude bien triste.

Pire, le panache s'est fait la malle.
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