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Citations sur Les aigles (10)

Dans le monde capitaliste, il ne suffisait pas d’avoir des revenus pour se faire ouvrir les portes. Il fallait aussi être capable de les justifier. Si le pognon était toujours bien considéré, seul celui sanctifié par la sueur était respecté. L’argent qui n’avait prétendument pas d’odeur pouvait puer.
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Ce peuple d'individualistes intransigeants, ces aigles amoureux de la solitude et jaloux de leur indépendance s'étaient enfin réunis.
Sous la bannière du capital.
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Les Balkans étaient habités par des peuples violents.
Les Albanais – les Shqiptar – étaient les plus violents de tous les Balkans.
Parmi les Shqiptar eux-mêmes, les Labs étaient craints pour leur folie et leur férocité.
Dino Andoni était un jeune colosse brun au regard sauvage.
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Les affaires posaient moins de problèmes quand on les surveillait soi-même.
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La loi italienne était douce pour les immigrants. Pour qui voulait pénétrer en Europe, l’Italie était de loin le sas d’entrée le plus facile. Et pour accéder au pays des Romains, nul passage n’était moins cher que celui qui traversait le canal d’Otrante.
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Comment un flic – un être humain, après tout – se serait-il contenté du salaire mensuel que lui versait l’État ?
Trente dollars.
Soit une somme insuffisante à nourrir un seul homme pendant une semaine. Sans parler de sa famille.
La logique aurait voulu que les salaires augmentent, en ces temps de prospérité.
Afin que la misère ne vienne pas s’installer parmi ces hommes en uniforme. Ceux qui représentaient la loi. Mais peut-être que le gouvernement démocratique avait opté pour la corruption totale.
En faire des complices.
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L’amour n’étant qu’une douce illusion, aux yeux d’un ancien espion de dictature, un paquet-cadeau sans surprise dedans, Dimitri Gambeta s’était payé le meilleur emballage qu’il avait pu trouver.
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Un sang pour un sang. Une mort d’homme pour une mort d’homme.
On ne tue pas sous son toit. On ne tue que sur certains chemins. On accorde des trêves pour les travaux agricoles…
Fallait-il que ce peuple soit fou, malade de violence, pour que ses hommes les plus instruits n’aient pu trouver, à travers les siècles, d’autres lois.
N’aient pu que contrôler, du mieux qu’ils pouvaient, les cascades de meurtres.
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Rien n’était plus trompeur que le sourire d’adolescent lumineux et fascinant qui venait parfois illuminer sa face, y compris aux moments les plus étranges.
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La générosité n’était pas un vain mot, dans cette Italie méridionale, chrétienne et chaleureuse. Partout on avait accueilli les funghatti (réfugiés) albanais à bras ouverts.
Le résultat avait été l’une des pires périodes de désordre que ces petites cités, pourtant habituées aux attentats et aux fusillades de la Mafia, aient jamais connues.
Voitures saccagées.
Magasins pillés.
Bagarres. Vandalisme. Scandales.
Jeunes femmes agressées…
C’était trop.
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