Dernier album de la série.



Yvon, hommes d'affaires très occupé, a délaissé sa petite fille après la mort de son épouse. Mais lorsque sa petite Lenaïg meurt à son tour, à 6 ans seulement, il est tellement désespéré qu'il conclut un étrange pacte, avec d'étranges créatures au pied d'un hêtre magnifique : en échange d'une mèche de cheveux et d'une miche de pain blanc, sa fille reviendra d'entre les morts.



Mais voilà, elle ne va revenir que 24 heures par année, et Yvon va chaque fois essayer de lui faire passer une journée parfaite !



Cet album est dans la lignée des précédents, et très différent des premiers. Il n'y a plus le leprechaun qui invente des histoires, et l'ambiance générale est plutôt sombre. J'ai bien aimé quand même, mais avec une préférence pour les débuts de la série. Question d'affinités avec les auteurs, sûrement, qui ont changé au cours des albums.

Onenna et Urielle sont sœurs. Elles ont été bannies du village, et vivent dans la forêt car Urielle est une méchante sorcière, et sa petite sœur a fait vœu de ne plus parler aux humains. En échange, elle parle aux animaux et surtout aux korrigans, dont son comparse de chaque jour Dudik.



Un jour arrive Mathurin. Fils de sabotier, il s'est élevé et a obtenu la promesse du père de la femme qu'il aime de pouvoir l'épouser à force de persévérance et d'efforts pour prouver sa valeur. Mais voilà, il a été tiré au sort pour servir l'Empereur, et doit partir en campagne militaire sept années ! Du coup, le potentiel beau-père a retiré sa parole, et la seule solution pour Mathurin est de payer quelqu'un pour partir à sa place. Il sait comment se procurer l'argent : gagner la soulte, sorte de compétition/jeu annuel bizarre, et pour ça, il a besoin qu'Urielle le rende fort et rapide !



Mais Urielle tombe raide amoureuse et lui concocte un philtre d'amour. Sa petite sœur le rompt, ce qui entraîne une succession d'événements qui pourraient libérer les esprits du Val sans retour et semer la dévastation chez les humains...



Une histoire très intéressante, qui ne se termine pas du tout, mais pas du tout comme on pourrait le croire, j'ai été surprise de la chute. Bien joué ;-)

Dans cette nouvelle aventure en terre de Brocéliande, ce sont les Korrigans et les Fées qui ont la vedette !



Deux korrigans tombent par hasard sur un carnage : une espèce de fossé noir et puant avec des congénères morts ! Ils vont immédiatement en référer au roi, Kor'net, qui, inquiet, va mettre sur l'enquête l'irascible Saltupott. Et c'est l'apprenti de Saltupott qui va raconter l'histoire.



A l'origine de tout cela, une querelle sanglante entre fées. Les Fées ont décidé de se retirer du monde des hommes, et cinq d'entre elles ont élu domicile dans un lac, le Miroir aux Fées. Mais l'une d'elles désobéit, sort, se montre et se lie à un jeune humain. Ses sœurs, furieuse, le tuent. Et la malheureuse, aveuglée par la douleur de son deuil, pour ressusciter celui qu'elle a perdu, va commettre un crime abominable. Et la chose qui s'attaque aujourd'hui aux habitants de la forêt est la conséquence de ce lointain drame. Saltupott va devoir collaborer avec les Fées, seules capables d'arrêter la puissance néfaste. Mais depuis qu'elles ne se montrent plus aux hommes, ils ne croient plus en elles, et leur pouvoir a décru…



Il faudra le sacrifice de la Reine des Fées et l'ingéniosité de Saltupott pour résoudre le problème.



Un très bon épisode, franchement bien meilleur - selon moi - que le précédent. En plus, cette légende là, je la connaissais déjà, alors j'ai pris grand plaisir à découvrir cette version !

Grosse déception pour ce sixième tome des légendes de Brocéliande en version bande dessinée.



La magie et l'ambiance du Val sans Retour, que j'ai eu le loisir de découvrir dans d'autres ouvrages, étaient absentes ici. J'ai trouvé l'histoire survolée et sans grand intérêt. Les personnages ne sont ni attachants, ni intéressants. Le dessin, n'étant pas à mon goût, ne m'a pas permis de passer un agréable moment de lecture, et j'en suis peinée.



Pourtant, la couverture donnait terriblement envie, bien que le résumé moins, mais j'avais l'espoir d'être surprise...



Une déception qui me conforte dans l'idée de revendre cette saga de bande dessinée.
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Un cinquième tome qui me redonne l’envie de poursuivre la lecture de cette saga.



Dans celui-ci, il nous est conté l’histoire du miroir aux fées et les légendes qui lui sont liées. Cette légende raconte l'histoire d’une jeune fée qui, par vengeance, va tuer toutes ses sœurs après que ces dernières aient tué l’amour de sa vie, un humain.



Entre une histoire de fées vengeresses et une enquête sur la mort de la faune de Brocéliande et ses habitants du petit peuple, l'histoire nous conte les légendes de ce lac et des fées qui y vivent.



J’ai beaucoup apprécié retrouver l’ambiance que j’avais aimée dans le tout premier tome de cette saga. Un conte poétique et dramatique, une enquête qui tient en haleine du début à la fin. Et enfin, un univers féérique comme j’aurais aimé le découvrir dans les précédents tomes.



Le miroir aux fées relève le niveau qui était devenu bien bas des précédents tomes. Une histoire bien plus intéressante avec une fin réussie.
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Ce tome 4 nous ramène à l'époque romaine : Vénètes et Romains s'affrontent rageusement, et Brocéliande est en plein milieu ! Alors, sous l'impulsion d'un druide, le petit peuple va tenter de trouver une solution pour épargner la forêt.



Mais voilà, parmi le petit peuple, le jeune Istroguel, "face d'homme", va trahir les siens, pensant avoir trouvé la solution à leur problème, et provoquer la mort du géant Kilpenek.



Des années plus tard, un individu étrange va venir s'opposer au projet d'ouvrir le Tombeau du géant pour mesurer ses os...



Pour le moment, c'est cet album qui m'aura le moins plu. Les personnages ne sont pas assez "vivants", on a du mal à suivre leurs motivations et comprendre leurs choix et les retournements de situation. Assez déçue...

Pendant la guerre 14-18, un lieutenant et son soldat tombent en panne de voiture. Tandis que le soldat s'affaire à réparer les dégâts, le lieutenant s'éloigne pour marcher, troublé d'être si près du Jardin des Moines, lieu dans lequel il n'avait pas mis les pieds depuis de très longues années, suite au drame survenu dans son enfance.



Et de là, flash back et on attaque le vif du sujet, ce drame proprement dit survenu à cette bande d'enfants.



J'ai bien aimé l'humour - le gamin qui croit son père mort en mer alors qu'il est le portrait craché du curé ! - et j'ai aussi aimé retrouver le petit personnage inventeur d'histoires et son dragon. L'histoire de la malédiction et les épreuves initiatiques du héros, avec la bagarre de trolls étaient plaisantes elles aussi. La fin cependant, m'a un peu laissée sur ma faim, on ne sait pas au final ce qui s'est passé, et on se dit un peu "ok, tout ça pour ça ?"



Je ne sais pas dire si la déception finale l'emporte ou non sur le plaisir de la découverte. On va dire que non, mais de justesse ;-)

Le quatrième tome de l’univers des légendes de Brocéliande fut, tout comme le second, une déception.



Nous faisons la rencontre de Saltipius, qui souhaite prouver que la légende des géants n'est qu'une fable en ouvrant le tombeau du géant en forêt de Brocéliande, prétendant qu'ils n'ont jamais existé. Un gnome s'oppose à cet affront et souhaite raconter la légende de ce tombeau. Commence alors une immersion dans la forêt de Brocéliande lors de la conquête des Romains sur ces terres.



Bien que l’intrigue soit intéressante à suivre, j'ai trouvé qu'il y avait beaucoup trop de longueurs. Une grande partie de la lecture m'a ennuyé. La guerre, la soif de conquête des Romains, tout cela m'a sorti de l'ambiance magique que je souhaitais retrouver avec cette bande dessinée. J'ai tout de même apprécié découvrir un autre lieu mythique de la forêt de Brocéliande. Je pense que le manque de cohésion entre les tomes me perd dans la lecture de cette saga et donne une saveur d'inachevé et de déception à l’ensemble. Je vais tout de même poursuivre car ma médiathèque a la suite de la collection, mais elle sera très vite oubliée.
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